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Les 6 meilleures revues de photographies

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Que vous soyez débutant en photographie, animé par le désir d’apprendre et de découvrir, ou un photographe aguerri à la recherche de belles images, il y a forcément un magazine qui est fait pour vous. Voici donc les 6 meilleures revues de photographies passées au peigne fin.

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Un incontournable : Chasseur d’images

Chasseur d’images est une revue de photographie mensuelle bien connue des amateurs.

La rédaction vous propose chaque mois la découverte du portfolio d’un artiste reconnu et des dossiers complets sur différentes techniques photos.

Enfin, des tests de matériel (boîtiers, objectifs…) et une liste d’événements en lien avec la photo à travers toute la France sont proposés.

À noter, vous y trouverez une côte de l’occasion du matériel photo !

Abordable pour tous : Réponses Photo

Réponse photo est également une revue de photographie très intéressante. Complet, le magazine est également tout à fait abordable quand on s’initie à la photographie.

La revue aborde des thèmes précis et propose des exemples concrets.

Découvrez également des portfolios de photographes chevronnés.

Des tests de matériel sont également présentés, de même qu’une liste des concours et des expositions. Sans oublier une sélection de livres et de sites web de photo à découvrir !

Pour apprendre : Compétence photo

C’est un magazine idéal pour les débutants. Il propose de nombreux tutoriels sur des thèmes précis et des hors-séries sur des sujets spécifiques.

Les lecteurs peuvent soumettre leurs photos à la rédaction afin de recevoir des commentaires – une excellente méthode pour progresser.

Les amateurs les plus avertis apprécieront les photos de qualités proposées par cette revue de photographie.

Pour voyager : Géo

Géo n’est pas exclusivement un magazine de photographies, mais les articles sont illustrés par de magnifiques images.

Vous y retrouverez des reportages et des carnets de voyage pour parcourir le monde sans bouger de votre fauteuil.

Les clichés de cette revue de photographie, sur des sujets variés, sont toujours admirables.

Pour les amoureux de photo nature : Nat’Images

 Nat’images est un magazine issu de Chasseur d’images, et comme son nom l’indique, il s’adresse aux amoureux des photos de nature.

La photo animalière y est à l’honneur.

Des photos prises dans les bois près de chez vous jusqu’aux clichés sous-marins, apprenez les astuces pour vous apprivoiser vous aussi la faune et la flore grâce à votre appareil photo.

Pour les photographes pros : Profession photographe

Voici un magazine d’information pour les photographes professionnels.

Vous trouverez dans cette revue de photographie des articles concernant les aspects juridiques du métier. Évolution de la réglementation, événements, bonnes pratiques… le tout, agrémenté de reportages sur les tendances actuelles dans le monde de la photo.

N’hésitez pas également à parcourir le Net : de nombreux blogs et sites internet proposent des revues de photographie en ligne, la plupart du temps gratuites.

 

 

Enfin, la galerie du site de l’EFET vous permet de découvrir les travaux réalisés par nos étudiants.

Pour vous aussi apprendre à réaliser des clichés d’exception, l’EFET vous propose des formations complètes en photographie. Séminaires, cours du soir, bachelor : il existe forcément une formation qui est faite pour vous !

7 choses à savoir avant de se lancer dans la photographie

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Vous envisagez de vous mettre à la photo ? C’est une excellente idée. Cette activité qui est un passe-temps accessible à tous se transformera sûrement en une passion grandissante. Qui sait, peut-être en ferez-vous un jour votre métier ? Voici sept choses à savoir avant de se lancer dans la photographie.

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Tout est prétexte à une bonne photo

Nul besoin de partir en expédition au bout du monde. Même au coin de la rue, il y a mille et une occasions de faire une bonne image.

En ville, à la campagne, dans les transports en commun, à côté de chez vous ou lors de périples lointains : ouvrez l’œil !

 

Formez-vous !

C’est vrai, de nombreux photographes inondent les réseaux sociaux et envoient des paillettes.

Mais tous ont sûrement pris le temps d’étudier les bases des meilleurs clichés.

Avant de se lancer en photographie, il est indispensable de se former pour maîtriser les règles de l’art.

 

Chacun son style

Aiguisez votre œil. Confrontez vos images au regard des autres. Ne soyez pas impressionné par ceux qui savent déjà : ils ont débuté eux aussi.

Écoutez-les, ils ont certainement des conseils à vous donner !

 

Inspirez-vous des maîtres

La photo est un art encore jeune, mais de grands noms ont trouvé leur place, chacun dans leur spécialité.

C’est en observant leur travail que vous apprendrez à faire la différence entre une bonne photo et un cliché exceptionnel. Vous vous nourrirez des images des autres pour construire votre propre style.

 

L’argentique est encore vivant

Oui, l’argentique a encore des adeptes.

Loin d’être une pratique révolue, la maîtrise de la photo argentique vous apprendra énormément de choses.

Pour se lancer dans la photographie, rien de tel qu’un appareil argentique.

La pellicule a beaucoup de secrets à vous révéler. La technologie moderne n’a rien à envier aux grands classiques.

 

L’appareil photo, un point à ne pas négliger

Vous avez un smartphone ? C’est un bon début.

Votre téléphone portable vous accompagne partout. C’est idéal pour se lancer dans la photographie. Mais bientôt, vous réaliserez les limites de cet équipement.

Un appareil reflex vous permettra de maîtriser la profondeur de champ, l’exposition, et bien d’autres éléments techniques.

Comment se lancer dans la photographie de sport sans cela ? Vous aurez besoin d’un téléobjectif muni d’un autofocus ultra rapide.

Alors, si votre smartphone vous permet déjà de briller avec des clichés originaux, pensez à ce qu’un appareil reflex pourra vous apporter !

 

7 choses à savoir avant de se lancer dans la photographie : le plus important

D’abord et avant tout : n’oubliez pas de vous faire plaisir !

Comme dans de nombreuses disciplines, le mot d’ordre est d’aimer ce que l’on fait.

La photographie est un art, mais son apprentissage doit être satisfaisant. L’accompagnement proposé par notre école est professionnel et bienveillant, dans le respect de tous.

 

Avec l’EFET, vous apprendrez les bases de la photographie. En peu de temps, la technique n’aura plus de secret pour vous. Vous allez acquérir des automatismes qui vous laisseront vous concentrer sur la prise de vue. Rapidement, votre appareil photo deviendra le prolongement de votre main et vous produirez des clichés avec un style assuré : le vôtre ! Notre école vous propose différents types de formations adaptées à vos contraintes, y compris en formation continue : à vous de choisir !

Bachelor intensif à l’Efet Photographie

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Le Bachelor Intensif permet aux personnes de plus de 25 ans, ayant un niveau baccalauréat et passionné de photographie, de se former en un an et d’appréhender tous les aspects de la photographie et de la retouche. A l’issue de la formation, les étudiants doivent également finaliser leur book, leur site, ainsi qu’exposer leur travail en vue du passage du titre devant un jury de professionnels en fin d’année.  

 

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Le déroulé de l’année 

L’EFET Photographie a à cœur de former ses étudiants avec rigueur. A l’issue du cursus, ils peuvent prétendre aux métiers de Photographe Technicien de laboratoire, photo retoucheur, contrôleur sensitométrique ou même étalonneur-filtreur. La formation est à la pointe de l’innovation et prend en compte les codes modernes photographiques 

La formation s’articule selon deux axes. Dans un premier temps, les fondamentaux de la photographie 

  • Prise de vue argentique et numérique, reportage, studio 

  • Traitement d'image, laboratoire argentique noir et blanc, colorimétrie et impression numérique, atelier d'impression numérique 

  • Post-production numérique, traitement numérique de l'image, Photoshop, Lightroom, retouches avancées 

  • Graphisme, arts appliqués, InDesign 

  • Création de site web et réseaux sociaux 

Dans un second temps, des projets professionnels pour ancrer les connaissances apprises : 

  • Editing, book, projet photographique 

  • Communication, expression orale, projet professionnel 

  • Création de son site web personnel 

  • Statut, cadre réglementaire et commercial 

 

Faire financer son parcours intensif 

Afin de bénéficier de la formation Bachelor Intensif de l’EFET Photographie, plusieurs possibilités de financement sont possibles 

  • Pour les salariés et les entrepreneurs, il est possible d’utiliser le compte CPF, un plan formation (PDC, PDV), l’AGEFICE, une réduction impôt, etc…  

  • Pour les demandeurs d’emploi, il y a le CPF CDD de transition (ex CIF), le CPF (Compte Personnel Formation), l’AIF (Aide Individuelle à la Formation) ou encore le CSP (Contrat de Sécurisation Professionnel). 

 

D’autres formations sont accessibles pour les personnes souhaitant se former dans un autre cadre que celui du bachelor classique : la formation e-learning, les cours du soir ou encore la formation à temps partiel ont été mis en place par l’EFET Photographie afin que tous les passionnés de photographie puissent se former. 

Comment faire des retouches photographiques de qualité ?

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L’expression « retouche photographique » désigne toute action de modification effectuée sur un fichier photographique au format numérique. Il s’agit du traitement de base du cliché, de la retouche morphologique, comme des traitements artistiques. Devenu une étape incontournable du travail des photographes professionnels : comment réussir des retouches photographiques de qualité ?

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Apprendre la manipulation des logiciels professionnels de retouche photographique

Faire ses retouches photographiques est devenu une étape incontournable du travail des photographes professionnels. Les outils informatiques permettent en effet de gagner du temps et d’améliorer la qualité de ses rendus.

La post-production numérique est une discipline technique de pointe, les photographes qui y ont recours ont tous suivi une formation pratique à la manipulation des outils informatiques professionnels. Les plus connus sur le marché, et ceux qui offrent les meilleurs résultats, sont sans conteste Lightroom et Photoshop.

Attention, réussir ses retouches photographiques dépend en premier lieu de la qualité du cliché d’origine. En effet, c’est au moment de la composition et de la prise de vue que se jouent l’avenir et la création d’une bonne photographie. Les retouches photographiques sont donc d'excellents alliés des photographes, mais elles ne viennent en aucun cas remplacer un travail technique et un savoir-faire acquis au fil de l’expérience dans le milieu.

 

Réussir ses retouches photographiques : pratiquer sans relâche

La photographie est une discipline technique dont la maîtrise ne s’acquiert que grâce à une formation appropriée, à la pratique et à l'expérience. Pour bien maîtriser ces instruments de la retouche photographique, il faut savoir éviter les erreurs :

  • Ne pas trop modifier le fichier de base, au risque de perdre la substance du cliché.
  • Éviter de trop modifier les textures de peau des sujets.

Parvenir à un résultat peu satisfaisant après ses premières sessions de retouches photographiques est parfaitement normal. C’est en effet au fil de la pratique que les photographes professionnels évoluent, à condition qu’ils aient bénéficié d’une bonne formation de base en retouche photo.

C’est au contact des professionnels du milieu que les étudiants en photographie obtiennent les meilleurs conseils pour réussir leurs retouches photographiques. Idéalement, ils ont l'occasion de suivre un ou plusieurs stages en entreprise au fil de leur formation universitaire. La mise en pratique répétée des connaissances théoriques apprises en cours est aussi un véritable plus qui leur permet d’apprendre de leurs erreurs pour mieux évoluer dans la discipline.

C’est pour cette raison que l’excellent Bachelor de l’établissement EFET suit une pédagogie de projet et propose des cours animés par des enseignants issus du monde professionnel. Les étudiants en photographie apprennent ainsi par la pratique et peuvent suivre des stages en entreprise afin de parfaire leur savoir-faire.

 

Les méthodes, les outils et les codes pour réussir ses retouches photographiques s’acquièrent à l’occasion d’une formation spécialisée en photographie.

Les cours du soir à l’EFET Photographie

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L’EFET Photographie a à cœur de proposer des formations accessibles à tous. C’est notamment le cas avec les cours du soir, qui permettent d’apprendre les différentes pratiques photographiques pendant un ou deux ans, en bénéficiant de l’expertise de photographes professionnels. 

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Les cours du soir s’adressent à toute personne désireuse de se professionnaliser dans le monde de la photographie. 

La formation permet d’acquérir les différentes techniques professionnelles de prise de vue en studio et en extérieur, de gestion de la lumière et de la composition, de la post-production et de la retouche d’images :  

  • Les prises de vues : La grammaire de l'image, la composition, la lumière, les différents formats et objectifs en argentique et en numérique. 

  • Le traitement numérique, des ateliers d'impression numérique et introduction à la post-production, profils, calibration, imprimantes et traceurs à jet d'encre, scanners, … 

  • L’enseignement théorique, optique et sensitométrie appliquées, théorie de la couleur, technologie des équipements, photochimie 

  • Les principes et bases : Graphisme, cadrage, composition, mise en page, iconographie, croquis préparatoires, histoire de l'art et de la photo de l’imagerie numériques 

 

Les cours du soir ont lieu le mardi et jeudi de 19hà 23h pour la première année et le mercredi de 19h à 23h, sur le campus de l’EFET Photographie. N’attendez plus et plongez dès maintenant dans le monde de la photographie ! 

La naissance et l’importance de la photographie

Visuel - Naissance photographie

L’art de la photographie a maintenant plus de 200 ans. Aujourd’hui, en France et à travers le monde la photo suscite toujours plus d’engouement. Quelle est son histoire ?

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C’est en 1820 que l’histoire de la photographie débute. Son processus a été inventé par le français Joseph Nicéphore Niepce vers 1822. Néanmoins, il faudra plusieurs années pour perfectionner l’invention et la démocratiser. De nos jours, l’image a une place essentielle dans notre société. D’après un récent sondage publié par Phonandroid, 91% des français possèdent un smartphone et 85% des sondés se servent majoritairement de leur smartphone pour faire des photos.

La photographie comprend deux grands axes : l’optique, avec la convergence des rayons lumineux pour former une image à l’intérieur d’une caméra, et la chimie, pour permettre à cette image d’être capturée et enregistrée sur un support photosensible.

Il faudra attendre presque deux décennies pour voir arriver l’image en couleur. Mais aussi pour que l’art de la photographie soit reconnu par le public. En effet, à ses débuts, elle est mal accueillie, notamment par le monde artistique, car les peintres y voient un danger pour leur art, un concurrent direct.

 

Le rôle essentiel de la photo

L’art de photographier, c’est enregistrer une tranche de vie, un moment fort, une émotion palpable. Elle joue non seulement un rôle essentiel, mais est aussi universelle.

“L'art de la photographie est d'immortaliser des portraits muets, et d'en faire naître des portraits parlants.” – Remy Donnadieu, photographe, graphiste et auteur.

Savoir photographier c’est aussi parvenir à saisir le bon moment. A l’EFET Photographie, les étudiants expérimentent durant tout leur cursus afin d’apprendre à immortaliser leur sujet comme ils le souhaitent et selon l’esthétique qu’ils cherchent à montre.

L’EFET Photographie a cherché à développer différentes façons d’apprendre l’art de la photo, au travers de cours théoriques et pratiques.

À l'issu d’un Bachelor Photographie ou d’une année de Bachelor Intensif Photographie, les étudiants obtiennent un titre RCNP de niveau 6 de Photographe reconnu par l’État.

 

L’EFET Photographie a également développé des formations continues à temps partiel sur l'année, accessibles aux personnes déjà en poste, et qui peuvent être pris en charge dans le cadre du CIF ou du DIF.

Nos alumni au festival d'Arles

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Cette année encore les jeunes diplômés 2022 de l’EFET Photographie de Paris ont participé à l’exposition collective annuelle des « Rencontres d’Arles ». Du 4 au 16 juillet dernier, nos alumni ont eu l’opportunité d’exposer au sein de la galerie.

Depuis plus de 50 ans, les plus grands noms de la photographie ont fait partie de la prestigieuse aventure. Chaque année plus de 100 000 personnes franchissent les portes des expositions éphémères. L’occasion pour nos jeunes diplômés de mettre en avant leurs créations.

 Affiche par nos yeux

Crédit : Taeyoung Seo
 

« C’est l’occasion de montrer nos travaux à des professionnels de la photographie. D’entrer dans le monde du travail et de se faire connaître. De plus, toutes nos œuvres sont disponibles à l’achat », affirme avec joie la jeune diplômée de l’EFET Photographie Ginevra Carrozzo.

Nos anciens, Eliott Kaçmann, Oscar Berling, Laura Martin, Angélique Krouri et Katya Leblond étaient aussi présent lors de l’événement.

 Exposition Arles

L’EFET photographie accompagne dès que possible ses alumni dans leurs premières expositions. Cette volonté de mettre sur le devant de la scène leurs créations commence dès leurs premiers pas en tant qu’étudiant.

L’école encourage ses étudiants à participer à des concours tel que le Grand prix Photoreportage Paris match.

Grand Prix PICTO : 4 étudiants et 2 alumni en finale !

Visuel - Lucas Cerli - Addiction

Le laboratoire PICTO, né dans les années 50, a pour vocation de soutenir et nourrir le monde de la photographie. Ils ont créé, au fil des années, différents concours et compétitions afin de faire émerger les talents. C’est notamment le cas avec le Prix PICTO.

Le Prix PICTO récompense les nouveaux talents dans le domaine de la photographie de mode. Trois prix sont remis chaque année :

  • Grand Prix Picto de la Photographie de Mode
  • le19M de la Photographie des Métiers d’Arts
  • La dotation Filippo Roversi

Cette année, ce n’est pas moins de 4 étudiants et 2 alumni de l’EFET Photographie qui sont arrivés en finale, avec des projets époustouflants.

 

Lucas Cerli, étudiant en 1ère année

Lucas est un jeune photographe de 22 ans qui a décidé de faire d’une passion qu’il avait depuis de nombreuses années, un métier : la photographie. Il est notamment attiré par la photographie de rue qui l’a conduit à créer un collectif : le Globe Children Club.

A travers « Addiction » et « Ink Together », Lucas cherche à livrer une vision du tatouage et de la réappropriation du corps très esthétique et personnelle. Avec ses portraits, le photographe se concentre sur son modèle et son rapport au tatouage.

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 ©Lucas Cerli – Addictions

 Lucas Cerli - Ink Together

 ©Lucas Cerli – Ink Together

 

Laura Martin, étudiante en 3ème année

Fille de photographe, Laura s’est très vite ouverte à cette discipline. Elle cherche, à travers ses clichés, à aborder des thèmes essentiels tels que l’environnement, notamment au travers de l’upcycling.

« Mouvement bleu » s’inscrit dans cette démarche en artificialisant le sujet de la photo, en utilisant notamment un ancien procédé, le cyanotype.

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©Laura Martin – Mouvement bleu

La série « L’ombre d’une tension » quant à elle, laisse transparaitre une autre des passions de la jeune photographe : la danse.

Laura Martin - l'ombre d'une tension

©Laura Martin – L’ombre d’une tension

 

Alexandre Sourd, étudiant en 3ème année

Jeune photographe de 20 ans, Alexandre cherche à expérimenter avec la photographie, notamment avec d’anciens procédés. Ses clichés n’ont pas pour objectif d’être réalistes mais plutôt poétiques et oniriques.

« Des Corps » met en photo différentes morphologies de corps comme un peintre ou un sculpteur aurait pu représenter des divinités. Les jeux de lumières soulignent les formes et leur diversité.

 Alexandre Sourd - Des corps

©Alexandre Sourd – Des Corps

« Sleepwalking » traduit la volonté du photographe de représenter un univers onirique, par l’utilisation du flou mais aussi le travail des matières.

Alexandre Sourd - sleepwalking

©Alexandre Sourd – Sleepwalking

 

Solène Richard, étudiante Bachelor Intensif

Après un parcours en sociologie et en psychoéducation, Solène se reconvertit dans la photographie notamment grâce au Bachelor Intensif de l’EFET Photograhie. Son expérience lui donne envie de rendre visible l’invisible et de dire l’indicible au travers de son art.

« Seconde Peau » cherche à faire s’incarner des femmes d’un autre temps au travers de modèles. Parfois la fusion est parfaite, parfois c’est une cohabitation qui se met en place.

 Solène Richard - Seconde Peau

©Solène Richard – Seconde Peau

A travers « Lumière Grise » la photographe explore et joue avec la matière et la lumière en révélant ou en effaçant son modèle, notamment grâce à un temps de pose très long.

Solène Richard - Lumière Grise

©Solène Richard – Lumière Grise

 

Veronica Nesci, alumni

Attirée naturellement par les disciplines artistiques, Veronica étudie aux beaux-arts de Rome avant de se former à la photo. Elle se lance ensuite dans la création d’un magazine jusqu’en 2020. Mêler les arts, mode, design, maquillage, photo, est indispensable dans sa recherche d’une esthétique formée de beautés différentes.

« The Walk », comme son nom l’indique, traduit une promenade en plein air et la synergie qui se peut se créer entre un être humain et la nature et ses différents éléments.

 Veronica Nesci - The Walk

©Veronica Nesci – The Walk

La série « Just ME » cherche à montrer des beautés non communes, des personnalités, mais aussi les différentes facettes que peut prendre une même personne, oscillant parfois entre deux extrêmes.

Veronica Nesci - Just Me

©Veronica Nesci – Just ME

 

Margaux Nieto, alumni

La photographe Margaux Nieto dévoile un univers mystique au travers de son art, transformant ses modèles en êtres quasi oniriques et les paysages en décors mystérieux. A travers son art, Margaux cherche notamment à casser les stéréotypes et nous dévoile un autre visage de la mode.

A travers « World Innerspace », la photographe nous invite dans un monde parallèle, shamanique, dans lequel la nature et l’homme sont subtilement liés.

Margaux Nieto - World Innerspace

©Margaux Nieto – World Innerspace

« Hug the Rug » nous fait nous interroger sur le lieu post-apocalyptique dans lequel évolue les modèles : s’agit-il d’une autre planète ou la nôtre dans le futur ?

Margaux Nieto - Hug the Rug

 ©Margaux Nieto – Hug the Rug

L’importance de la colorimétrie en photographie

photo couleur

Qu’est-ce que la colorimétrie en photographie ? Il s’agit de travailler l’image pour que le rendu des couleurs soit le plus proche possible de l’effet escompté. En photographie d’art, la gestion des tonalités est un point essentiel. Plusieurs éléments sont à prendre en compte et le réglage des appareils joue un rôle important. Sublimer les couleurs, c’est accessible avec un bon contrôle de la colorimétrie !

La gestion de la couleur en photographie

Une bonne maîtrise technique permet de magnifier les couleurs d’une image et de restituer une ambiance, qu’elle soit proche de la réalité ou totalement subjective. Il est primordial que les couleurs soient conservées lors de toutes les étapes du travail du fichier.

Enregistrement, retouche et impression : le photographe doit être certain d’obtenir des teintes précises. Il est donc indispensable d’avoir à disposition un matériel calibré.

Premier point de base de la maîtrise de la colorimétrie en photographie : le réglage de l’appareil photo numérique. Celui-ci est souvent équipé d’un menu de contrôle de la couleur. La balance des blancs permet d’adapter la température de couleur à la situation de la prise de vue.

L’écran de l’ordinateur doit également être étalonné. Un réglage à l’œil est possible, même s’il reste parfois approximatif. Un colorimètre offrira une calibration parfaite des nuances affichées sur le moniteur.

L’imprimante est enfin le dernier périphérique intervenant dans la séquence. Un calibrage professionnel à l’aide d’un spectrophotomètre garantit un rendu impeccable. Le choix du papier et de la qualité de l’encre influencent grandement le résultat.

Au-delà de l’aspect purement technique de la colorimétrie en photographie, l’angle artistique a aussi toute son importance.

 

La colorimétrie en photographie : laisser place à l’émotion

La notion de perception et de sensibilité du photographe est au centre de l’image lors de la prise de vue. Mais depuis toujours, le post-traitement de l’œuvre est la touche finale qui confère au cliché une empreinte unique, qu’il s’agisse d’une pellicule argentique ou d’une photo numérique.

Grâce à la colorimétrie en photographie, la reproduction peut être valorisée avec un style fort et personnalisé.

Des manipulations intéressantes sont permises pour obtenir un rendu particulier sur un tirage argentique aussi bien que pour le traitement d’une photo numérique avec des logiciels de retouche. Les couleurs chaudes ou froides modifient la sensation dégagée par l’image. Clichés à l’aspect vintage, virages, coloris intenses ou sourds : le langage des couleurs possède une large palette.

De grands noms de la photographie ont choisi de travailler avec des sujets hauts en couleur, plaçant les gammes chromatiques au centre de leur œuvre. La couleur peut elle-même devenir le thème de la photo et tenir le rôle principal. Dans l’art du portrait, le rendu des tons chair doit être naturel alors qu’il est d’une variété infinie. La colorimétrie en photographie est là aussi primordiale.

L’expertise dans les applications de traitement d’images ou le développement des épreuves argentiques permet une créativité sans limites. Utilisation des couleurs complémentaires, harmonie des tons et teintes primaires sont des bases essentielles à acquérir. Pour apprendre à contrôler les couleurs et obtenir un résultat parfait, il est indispensable de suivre des cours.

 

L’EFET photographie propose des formations complètes sur le sujet. Explorer les possibilités offertes par son appareil reflex et maîtriser les outils de retouche d’images pour rehausser les couleurs sont des prérequis pour que le photographe s’exprime pleinement dans son art. Découvrez comment percer les secrets du cercle chromatique notamment lors des cours du soir proposés par notre école de photographie.

Trois étudiants finalistes du Grand Prix du Photoreportage étudiant

Visuel Photoreportage Le pays des ours - Vicentiu Burlacu

Les étudiant de l’EFET Photographie s’illustrent une fois de plus : Vicentiu Burlacu, Samir Derraze et Maxime Josselin sont finalistes du Grand Prix du Photoreportage étudiant, organisé par Paris Match.

Ce Grand Prix récompense les étudiants qui, au travers de leur objectif, capture le monde qui les entoure. Le but est de donner une vision réaliste et vraie d’un quotidien. 5 prix seront décernés :

  • Le trophée du Grand Prix
  • Le prix Puressentiel « Nature et Environnement » – Photographie de la Terre et sa diversité
  • Le prix Google de l'image – Regard sur la citoyenneté
  • Le prix du public
  • Le « coup de coeur » du Journal du Dimanche

Trois de nos étudiants sont en lice. Votez avant le 31 mai pour soutenir leur photoreportage :

JE VOTE !

 

©Le pays des ours – Vicentiu Burlacu

Le pays des ours

Vicentiu Burlacu fait un zoom sur les 8000 ours qu’abrite la Roumanie, soit la moitié de la population d’ours d’Europe. Ils sont présents dans les montagnes de Roumanie depuis des millénaires et s’y sont maintenus car, de longue date, la chasse a été réglementée. Entre Noël et le jour de l'an, dans plusieurs villages du nord-est de la Roumanie, les villageois dansent au rythme des tambours et des flûtes, vêtus de peaux d’ours véritables, dont certaines pèsent jusqu’à 40 kg. L’ours était considéré jadis comme un animal sacré, avec des pouvoirs guérisseurs. La Danse des ours, tradition ancestrale populaire, symbolise la mort et la renaissance de l'année. Depuis une quinzaine d’années l’ours a souvent été nourri par l’humain. Une fois habitué, l’ours associe la présence de l’humain avec la nourriture. Les zoologistes, les ONG et les chasseurs n’arrivent pas à se mettre d’accord. A qui appartient la responsabilité des ours en Roumanie ?

 

©ARCHER – Samir Derraze

archer

Samir Derraze, grâce à son photoreportage, montre que le tir à l’arc est une affaire de geste. C’est le même geste répété qui permet de marquer des points. On utilise des muscles qu’on n'utilise pas habituellement. Le mouvement est le même sur toute la durée du tir, c’est statique. En ce qui concerne les handicapés visuels, peu de choses changent techniquement, les blasons sont les mêmes, les flèches sont les mêmes, les arcs sont les mêmes. Seul le viseur inutile ici est remplacé par une potence et un tactile qui peut se mouvoir, et ainsi guidé la main d’arc. Rémy, l'archer, était photographe amateur avant de perdre la vue. Ayant côtoyé d’autres handicapés visuels, j’ai remarqué que chacun à sa manière d’expliquer ce qu’il perçoit. En ce qui concerne Rémy, sa vision, est selon ses mots, soit surexposé ou sous-exposé de 2IL. Le reportage se concentre donc sur Rémy et Tom son entraîneur…

 

 

©En suspens – Maxime Josselin

En suspens

A travers son photoreportage, Maxime Josselin a cherché à rendre compte de la précarité provoqué par la crise sanitaire liée au Covid-19 chez les jeunes, les artistes et les créateurs. Les loyers de Paris et sa banlieue ne faisant qu’augmenter depuis des années, ces personnes sont contraintes à organiser des sociétés alternatives afin de continuer à créer. J’ai rencontré un groupe d’artistes qui en est un exemple. Leur vie en squat est éphémère. Sous la menace de l’expulsion, ils doivent trouver un nouveau lieu de vie et de création. Ils organisent des sorties nocturnes régulièrement pour visiter les bâtiments abandonnés de la Seine-Saint-Denis afin de trouver celui qui sera assez grand pour héberger chaque personne et son atelier. Finalement, leur choix est porté sur un bâtiment industriel abandonné depuis une dizaine d’années, je les ai suivis afin de documenter les premiers jours d’occupation.