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De l’appareil au logiciel, l’intelligence artificielle en photo

L'intelligence artificielle, également appelée IA, fait actuellement les gros titres de la presse. Il faut dire qu'en peu de temps un grand nombre de logiciels capables de générer du texte aussi bien que des images ont émergé. Mais saviez-vous que l'IA était déjà utilisée depuis longtemps en photographie ?

 

© Pexels

Midjourney, Dall-E, Stable Diffusion ou Imagen : ces logiciels générateurs d'images ont atteint une telle qualité qu'ils sont aujourd'hui au coeur des préoccupations, faisant craindre pour la fiabilité de l'information comme pour l'avenir des photographes. Car si la retouche n'a pas attendu les outils numériques pour exister, leur fonctionnement est devenu tellement simple qu'il est aujourd'hui possible pour n'importe qui de s'en servir. Avec eux, et l'émergence du logiciel générateur de textes ChatGPT, le terme d'intelligence artificielle est revenu sur le devant de la scène. Comme s'il s'agissait d'une création récente. Or depuis des années déjà, la technologie a intégré le monde de la photographie. Elle est utilisée aussi bien dans les appareils photo que par les logiciels de retouche d'image les plus anciens et les plus populaires.

 

Un autofocus dopé à l'IA

Plutôt que d'intelligence artificielle, il faudrait parler de la technologie du deep learning, ou des modèles d'apprentissage automatique. Car à ce jour aucun de ces systèmes n'est réellement intelligent… Les premières tentatives pour intégrer des algorithmes sophistiqués dédiés à l'analyse de scène en photographie remontent au début des années 2000. Ils ont été utilisés pour améliorer la fiabilité de l'exposition en mode matriciel et pour favoriser une mise au point précise en autofocus sur les appareils photo numériques. C'est dans ce domaine que les progrès ont d'ailleurs été les plus spectaculaires ces dernières années. Grâce à ces algorithmes basés sur un apprentissage profond nourri par des millions d'images, la plupart des appareils hybrides actuels sont équipés de nombreux automatismes de détection du sujet en autofocus comprenant la reconnaissance des humains, des animaux ou des véhicules avec des spécificités comme la reconnaissance des chiens, chats, oiseaux, chevaux, insectes, train, vélo, avion, voiture, moto, etc. L'intelligence artificielle est employée pour détecter avec précision différentes parties du corps, favorisant l'autofocus sur l'oeil des humains et des animaux ou sur le pilote d'un véhicule, mais aussi pour suivre précisément un sujet en déplacement. Les algorithmes permettent de prédire la trajectoire d'un sujet et par conséquent d'ajuster plus rapidement la mise au point pour qu'elle se fasse toujours au bon endroit même lorsque les déplacements sont rapides. C'est grâce à ces technologies en constante évolution qu'il devient de plus en plus difficile de rater la mise au point de ses photos !

 

Des logiciels dopés à l'IA

Les éditeurs de logiciel n'ont pas non plus attendu ces dernières années pour intégrer le même genre de technologie à leurs produits. L'un des premiers qui en a parlé est certainement l'Américain Adobe qui dès 2010 introduit l'IA dans Photoshop – le plus ancien des logiciels de retouche de photo – à travers des fonctionnalités telles que Content-Aware Fill (remplissage d'après le contenu), Content-Aware Scaling (mise à l'échelle d'après le contenu) et Content-Aware Patch (retouche d'après le contenu). Depuis, de nombreux autres logiciels de retouche photo ont également intégré des fonctionnalités d'IA comme Skylum Luminar, DxO PhotoLab, Capture One et ON1 Photo RAW qui en font usage à différents niveaux, pour l'amélioration automatique des images et notamment la correction du bruit, la détection et la correction des défauts, la gestion intelligente de masques basés sur le contenu ou même le remplacement de certaines zones, la fonction ayant le plus fait parler d'elle étant sans doute le remplacement du ciel. Baptisée Sensei et lancée en 2016 , la plateforme d'intelligence artificielle et d'apprentissage automatique développée par Adobe a en outre permis au logiciel d'offrir des outils de catalogage automatiques favorisant la recherche d'images dans Lightroom par une simple description de leur contenu, de leurs couleurs, de leurs sujets ou de leur style.

Si le développement des logiciels de création d'images fait à juste titre craindre pour la fiabilité de l'information, il ne faut donc pas oublier que la technologie a également permis aux photographes de gagner du temps pour se concentrer davantage sur leur travail artistique.

L’exposition de fin d’année des étudiants en Bachelor Photographie

Les étudiants en Bachelor photographie de l’EFET Photographie ont exposé leurs créations, aboutissement de plusieurs mois de travail, au sein de l’école même, ce mercredi 7 juin.  

Un jury était invité spécialement pour l’occasion. De 9h à 17h, tous les membres du jury sont allés à la rencontre des étudiants photographes pour évaluer leurs travaux. Certains d’entre eux comme David Babinet, Alexandra Laffitte et Ingrid Bailleul ont été précédemment diplômés de l’Efet Photographie.  

 

 

Cette exposition réunissait donc 24 étudiants avec 24 thèmes plus originaux les uns que les autres. Certains avaient décidé d’aborder des sujets plutôt légers alors que d’autres dévoilaient des éléments plus intimes de leurs vies. La photographie est certes un art visuel, mais ce qui donnait vie à tous ces clichés sont les histoires qu’ils cachaient. Les travaux étaient captivants, fascinants et parfois même, déroutants. 

 

En voici quelques-uns : 

 

  • « Çürük » d’Özgül DEMIR  

 

Les séismes qui ont eu lieu il y a quelques mois en Turquie ont émotionnellement beaucoup affecté Özgul, qui a vu sa région natale se détruire.« Après les tremblements de terre en Turquie, j’ai commencé à photographier des citrons pourris » dit-elle. « Çürük » signifie en fait pourri, mais aussi mal construit en turc. Elle souhaitait représenter l’instabilité qu’avaient causé ces dégâts en Turquie d’une manière assez imagée et indirecte. « J’ai beaucoup entendu le mot « çürük » dans les médias turcs. Cette poudre de gravats a enseveli des corps qui n’ont souvent pas été retrouvés » explique-t-elle.  

 

  • « Des liens qui libèrent » de Claire-Marine DAMASSE 

 

 

L’étudiante souhaitait aborder le sujet de la vie dans la rue.Àtravers ses photos, elle voulait raconter une histoire et pas seulement celle des bénévoles qui, selon elle, sont souvent dépeints comme des superhéros. Elle est donc allée à la rencontre de Gilbert qui a vécu dans la rue pendant 106 jours. Aidé par l’Association pour l’Amitié, il a retrouvé un logement et s’est engagé auprès de l’association Entourage, un réseau venant en aide aux personnes sans domiciles. L’histoire de Gilbert donne de l’espoir car il a pu se réinsérer dans la société : « Gilbert participe aujourd’hui au Conseil d’administration de l’association et déploie son talent culinaire au service des plus démunis. » révèle Claire-Marine. 

 

  • « Plastico Marino » d’Erika CANA FERRER 

 

 

Ce qui est étonnant avec cette série de photographies, c’est qu’au premier abord, on a l’impression de faire face à des clichés reflétant une certaine gaieté par les couleurs et la présence de jouets pour enfant. Mais en se concentrant, on se rend compte de la gravité du sujet : ce qui est mis en avant est la pollution marine à Mahalual, petit village dans le Quintana Roo au Mexique. Selon la photographe, un réel changement dans nos choix de vie quotidiens doit s’opérer pour le bien de la planète : « Ces déchets plastiques sont le symbole de la nécessité d’une prise de conscience collective. Car derrière chaque petit soldat abandonné, chaque figurine échouée, se cache une histoire plus grande, celle de notre relation complexe et fragile avec la nature » dit-elle. 

 

  • « Petit Hippocampe » d’Alicia GUGLIELMI 

 

 

Cette exposition mettait en scène Alicia et sa sœur jumelle. Elle est dédiée à leur mère qui était atteinte de dépression. À travers ces photos, elle cherche à représenter leur mère et la profondeur de sa condition mentale : « Le parallélisme des traits de nos visages, de nos gestes, la symétrie de nos attitudes révèlent un besoin d’équilibre et d’harmonie physique et morale urgent face à la complexité de sa maladie. Ainsi, les visages entrelacés de ma sœur jumelle et moi révèlent notre mère sur le tirage, comme un face-à-face mutuel. L’autoportrait dédoublé exprime alors cette nécessité profonde d’oublier l’angoisse de sa dépression et de dérive. » explique-t-elle. 

 

  • « Page 29 » de Timothée Cerveaux  

 

 

Les travaux de Timothée ont été réalisés avec des portraits préexistants sur lesquels il a déposé des filtres. Cette superposition d’un aspect assez étrange illustre le sentiment d’incertitude, de doute et de chaos qu’il a ressenti jusqu’à ses 29 ans. C’est précisément à cet âge qu’il a réussi à parler de son homosexualité à ses parents : « Cette série de portraits est une représentation de la dualité inconsciente que j’ai éprouvé depuis l’enfance. De cette double identité que j’ai endossée en société pendant 29 ans ; du doute en la capacité de l’autre à accepter mon homosexualité. » dévoile-t-il. 

 

  • « Anda aux pays des Merveilles »de Kristina MARJANOVIC DEBORD 

 

Kristina présentait aux jury une exposition beaucoup plus fantasie que le reste des étudiants. Elle se base sur Alice aux pays des merveilles, son livre préféré. Elle a réalisé un photoshooting de mode avec son amie Anda : « Pour moi, le monde de la mode est comme le rêve d’Alice. Il faut être un peu fou pour avoir de l’imagination et être créatif. Il n’y a pas de mode sans créativité et il n’y a pas de créativité sans un brin de folie. Folie créative ! » affirme-t-elle. Elle avait réalisé une très belle disposition de ces clichés, un travail très chic et « girly ». 

 

 

Cet évènement représente une belle opportunité pour les étudiants du Bachelor Photographie de lEFET Photographie qui ont pu montrer leurs réalisations à des professionnels et avoir un retour constructif sur leur travail 

Si vous êtes passionnés par la photographie, le Bachelor Photographie est fait pour vous !  

Qu’est-ce que le bokeh en photographie ?

Visuel Bokeh FB

Issu du japonais « boke » qui signifie flou, le terme de bokeh est utilisé en photographie pour désigner le flou de profondeur de champ, celui qui se situe à l'avant et à l'arrière du plan de netteté. C'est un élément essentiel de l'esthétique des images.

 

 

© Pixabay

 

Comment retranscrire sur une photographie en deux dimensions la profondeur d'une scène ? En jouant sur les zones nettes et les zones flou et donc sur la profondeur de champ ! Plus elle est grande, plus les zones nettes de l'image seront nombreuses et plus la photographie sera descriptive.

Si au contraire la profondeur de champ est faible, la zone de netteté sera concentrée sur une infime partie du sujet et les éléments présents à l'avant et à l'arrière seront flous : on ne verra pas d'eux des points précis mais des tâches plus ou moins grandes. Plusieurs facteurs influent sur la profondeur de champ – la focale de l'objectif, la distance de mise au point et l'ouverture du diaphragme – et donc sur le bokeh.

 

 

Forme et esthétique

 

Pour produire un bokeh intense et prononcé, préférez une longue focale, réalisez la mise au point sur un sujet proche ou bien encore utilisez une très grande ouverture de diaphragme. Mais la qualité du bokeh, sa forme et ses nuances dépendent directement de l'objectif et de la forme de son diaphragme.

Si ce dernier est parfaitement circulaire, les tâches visibles sur l'image seront, elles aussi, circulaires et le bokeh progressif et velouté. Aux plus grandes ouvertures, si l'objectif souffre d'un vignetage important, ces tâches prendront une forme ovale sur les bords de l'image. C'est ce que l'on appelle l'effet « œil de chat ».

Si le diaphragme a une forme octogonale, le bokeh présentera des tâches de même forme. Si bien que certains objectifs atypiques disposent même de plaques de diaphragme avec des formes carrés, en étoiles, etc. pour autant d'effets différents sur le bokeh.

On notera également que la qualité de surface des lentilles a une incidence sur la qualité du bokeh. Si elle n'est pas parfaitement régulière, les tâches ne seront pas parfaitement uniformes. Elles afficheront des cercles concentriques appelés « onion rings » ou encore rondelles d'oignons peu esthétiques.

Enfin, notez que si vous fermez le diaphragme et augmentez par conséquent la profondeur de champ, les sources ponctuelles à l'arrière-plan prendront la forme d'étoiles dont le nombre de branches est directement lié au nombre de lamelles du diaphragme.

 

 

Un outil de narration

 

Jouer sur l'intensité et la forme du bokeh est un élément capital dans l'esthétique des photographies et dans leur dimension narrative. En optant pour une grande profondeur de champ et un faible bokeh, les photos sont plus descriptives, le spectateur va alors s'intéresser à toutes les zones de l'image alors que les faibles profondeurs de champ permettent de concentrer le regard du spectateur sur une zone précise et minimisent l'importance de l'environnement.

Cette technique est très utilisée en portrait pour faire ressortir le sujet et le détacher visuellement de l'arrière-plan flou mais elle peut servir dans toutes les disciplines de la photographie.

Un bokeh intense et marqué peut également ajouter un effet de douceur ou de rêverie. Car à l'oeil nu, nous voyons avec une profondeur de champ immense, c'est en jouant sur le bokeh que nous donnons une dimension photographique aux images.

 

 

Via ses différentes formations, du bachelor en trois ans aux cours à temps partiel en passant par le bachelor intensif en un an, l'EFET Photographie apporte à ses élèves les connaissances techniques et culturelles nécessaires pour qu'ils abordent les différentes facettes du métier de photographe. L'inscription à l'école se fait après analyse de dossiers et entretien de motivation.

Des formations hors Parcoursup à l’Efet Photographie

Visuel Parcoursup EFETP FB

Moment décisif pour vous, futurs bacheliers : les premiers résultats de Parcoursup viennent de tomber ! Certains d'entre vous ont peut-être eu la chance d‘avoir reçu une réponse positive de vos premiers vœux. Mais ce n'est pas forcément le cas pour tous. Il ne faut surtout pas baisser les bras, car de nombreuses formations horsParcoursup sont disponibles.  

C'est le cas de l'EFET Photographie, grande école de photographie accessible sur concours et donc hors Parcoursup 

 

 

© Pixabay

Le Bachelor Photographie de l'école est une formation en 3 ans, qui enseignent les fondamentaux techniques et artistiques de la photographie aujourd'hui. 

Certaines matières sont communes aux 3 années comme la prise de vue argentique et numérique, le traitement d'image et post-production numérique, la culture photographique et artistique. 

D'autres sont plus spécifiques à la 1ère et la 2ème année comme les Arts appliqués, le graphisme et l'audiovisuel 

Les cours enseignéesdurant ces 3 années ainsi que les stages à faire dans ce cursus, offriront un solide socle de connaissances aux étudiants.Des opportunités de professionnalisation rythment la formation telles que des workshops, des expositions, la présentation de projets professionnels et des stages enimmersion. L‘insertion de nos étudiants dans le monde professionnel est d'autant plus facilitée 

 

Les cours du soir et séminaires 

Des cours du soir sont aussi dispensés à l'Efet Photographie, ils prennent place un ou deux soirs dans la semaine,d'octobre à juin. Il est possible de faire cette formation sur deux ans et elle permettra aux étudiants d'acquérir toutes les connaissances nécessaires à l'exercice du métier de photographe.Les enseignants de cette formation sont tous des professionnels en activité.   

L'école propose également des séminaires, ayant lieu sur 6 week-ends de janvier à juillet, abordant chacun un thème différent : les bases de la photographie numérique, Photoshop, la lumière, la composition de l'image, le portrait en studio et le personnage hors studio. 

Une semaine intégrale de séminaire se tient également chaque année, durant laquelle vous pourrez suivre un shooting de mode, de la préparation du shooting à l'impression des clichés en passant par les prises de vue et la retouche photo 

 

 Le Design Project Program  

L'EFET Photographie, en partenariat avec d'autres écoles du Réseau GES, propose une formation sur un an, le Design Project Program, à destination des bacheliers. Elle propose de suivre 8 disciplines différentes (d'octobre à mai, une par mois) : la photographie, l'architecture d'intérieur, le merchandising, l'animation 3D, le webdesign, le stylisme, l'audiovisuel et la communication visuelle. Cette période de 8 mois représente une phase de découverte qui sera suivie d'une phase d'approfondissement de juin à juillet, durant laquelle vous pourrez vous spécialiser dans l'une des disciplines en vued'intégrer une des 6 école partenaire en 2ème année.  

 

Le choix des formations horsParcoursup est très vaste, c'est pourquoi il ne faut pas se décourager face à vos réponses et commencer à candidater auprès des institutions prêtes à vous accueillir dès maintenant, comme l'EFET Photographie !  

10 bonnes raisons de devenir photographe 

La photographie fait partie intégrante de nos vies. En 2023, le berceau de la photographie en France compte plus de 25 000 photographes professionnels. L’engouement pour le métier est tel que ces quinze dernières années la profession a connu une importante croissance de 37%. Mais pourquoi embrasser cette voie ?  

 

Photographe

 © Pexels

10 raisons de choisir ce métier  

La photographie est un art fascinant qui permet de capturer des moments précieux et de les immortaliser à jamais. Si vous êtes passionné par la photographie, voici 10 bonnes raisons de devenir photographe : 

  • Capturer des moments inoubliables : En tant que photographevous aurez l’occasion de capturer des moments uniques et inoubliables, comme des mariages, des naissances, des anniversaires et d'autres événements spéciaux 

  • Exprimer votre créativité : La photographie est un art qui permet de laisser libre cours à sa créativité. En expérimentant avec différents angles, différentes perspectives et différentes techniques, vous pourrez créer des images originales et uniquessans limite. 

  • Choisir son cadre de travail : La photographie offre la possibilité de travailler absolument partout, en intérieur comme en extérieur, ce qui peut être une expérience gratifiante pour ceux qui aiment la nature et les paysages.  

  • Rencontrer des gens fascinants : Les photographes ont souvent l'opportunité de travailler avec des personnes intéressantes et inspirantes qui débordent de créativité, comme des artistes, des célébrités ou même des personnalités publiques.  

  • Travailler à votre compte : En tant que photographe,travailler à son compte, comme freelance ou en créantsa propre entreprise,vous procure une certaine liberté. Gérer son planning et sa charge de travail à sa guise est un véritable atout. 

  • Voyager : La photographie peut être une opportunité de voyager et de découvrir de nouveaux horizons tout en travaillant sur des projets. Ce qui apporte une ouverture supplémentaire sur le monde et des connaissances sur différentes cultures.  

  • Partager votre vision du monde : La photographie peut être un moyen de partager une vision unique du monde à travers différents clichés, en montrant des perspectives que les gens ne voient pas forcément. Cela peut être aussi l’occasion de véhiculer ses valeurs, son opinion, des informations que l’on souhaite partager au grand public. 

  • Utiliser une technologie de pointe : La photographie peut permettre l'utilisation d’une technologie de pointe, telle que des outils de prise de vue dernière génération, des logiciels de retouche photo ou encore d’équipements d'éclairage sophistiqués. 

  • Apprendre en continu : La photographie est un domaine en constante évolution, avec de nouvelles tendances et destechnologies émergentes. Cela signifie qu’un photographe peut continuellement apprendre et se perfectionner sans cesse. 

  • Laisser son empreinte : Les photographies peuvent avoir un impact durable sur les générations futures. En tant que photographe, vous pouvez marquer votre passagedans le monde de l'art et de la photographie pour des décennies. 

 

La photographie est une carrière passionnante, gratifiante et empreinte de créativité. Avec des opportunités professionnelles variées et une incroyable liberté créative, il est facile de comprendre pourquoi de plus en plus de gens choisissent de devenir photographe. 

 

Se former avec l’EFET Photographie 

Au travers de ses différents cursus, l’EFET Photographie propose des formations riches et complètes. 

Le bachelor photographie : est accessible dès l’obtention du bac et se déroule sur 3 ans. En 1ère et 2ème année les étudiants aborderont tous les aspects de la photographie. Quant à la 3ème année, elle sera consacrée audéveloppement d’une spécialisation et d’un projet photographique et personnel avec la réalisation d’un site web, d’une exposition et d’un book photo. Cette formation délivre un titre de niveau 6 reconnu par l’état.  

Le bachelor intensif s’adresse aux personnes en reconversion. Cette formation intensive d’un an permet aux apprenants d’appréhender toutes les facettes de la photographie et délivre un titre de niveau 6 reconnu par l’état.  

 

Au sein de l’école de photographie parisienne, il est également possible de prendre des cours du soir ou même de participer à des séminaires week-end afin de se former aux rudiments de la photographie. 

De l’intérêt d’une solide formation en photo

Visuel - Formation photo

S’il suffit d’appuyer sur le déclencheur pour « faire » une photo, réaliser de bonnes images et vivre du métier de photographe requiert des connaissances très variées. Accessibles hors Parcoursup, les formations proposées par l’EFET Photographie ont été élaborées avec cette approche pratique et professionnalisante dans le but d’apporter aux élèves toutes les compétences nécessaires pour devenir de bons photographes et vivre de leur activité.

 

Photogrpahe

De la théorie à la pratique

Si de nombreuses formations photo sont accessibles en ligne, parfois même gratuitement, elles ne proposent généralement qu’une approche très incomplète, purement technique ou basée uniquement sur la prise de vue. Or être photographe, c’est effectivement bien connaître son matériel, savoir choisir son appareil photo mais aussi ses objectifs et ses accessoires et bien s’en servir. Ce qui demande des connaissances théoriques solides et une approche pratique, encadrée à l’EFET par des professionnels compétents.

Mais être photographe, c’est aussi connaître toute la chaîne de l’image, réaliser un editing efficace, maîtriser la retouche photo, l’impression et les différents supports qui apporteront une interprétation différentes des images. Outre sa dimension technique, la photographie est aussi une discipline artistique qui s’inscrit dans un cheminement intellectuel faisant référence à des courants historiques, des codes spécifiques à ses différents domaines d’application et que chacun doit être capable d’explorer à sa manière pour s’exprimer, se différencier et développer son univers propre.

Souvent indépendant, le photographe doit également avoir une connaissance poussée de ses droits, des statuts sous lesquels exercer et de la stratégie à adopter pour vivre correctement de son travail. Tous ces domaines sont abordés dans les différentes formations proposées par l’école EFET Photographie.

Une école, plusieurs options

 

Afin de répondre aux besoins de tous, l’école EFET Photographie a mis en place plusieurs formations. La plus longue et la plus complète est le Bachelor Photographie en 3 ans, accessible pour les élèves de niveau Bac via un cursus de recrutement sur dossier, hors Parcoursup, selon un processus totalement transparent qui laisse ses chances à tous les candidats.

Les deux premières années, les étudiants abordent tous les aspects de la photographie avant de consacrer la dernière année de leur formation à leur spécialisation autour d’un projet personnel, la réalisation d’un book, d’un site web et d'une exposition présentée devant un jury de professionnels.

Le Bachelor intensif en un an se destine quant à lui aux professionnels en reconversion ou aux étudiants en réorientation âgés de plus de 25 ans. Dense et complète, cette année de formation débouche elle aussi sur l’obtention d’un titre RCNP de niveau 6 de Photographe reconnu par l’État et certifié par le Ministère du Travail.

L’EFET Photographie propose par ailleurs des formations à temps partiel, une journée par semaine ou en cours du soir suivant les formules pour tous ceux qui exercent en parallèle une autre activité dont ils ne peuvent se décharger entièrement. Comme pour les élèves qui suivent des formations à temps complet, les élèves profitent d’une formation exhaustive qui aborde tous les domaines de la photographie, du reportage au studio en passant par le laboratoire argentique, la retouche numérique et l’impression grand format. L’inscription se fait via un formulaire en ligne sur le site de l’école, suivi d’un entretien de motivation.

L’objectif de l’EFET Photographie est de former ses étudiants au plus proche de la réalité qui sera la leur et de proposer des formations qui s’adaptent aux profils de ses élèves.

Retour d’expérience d’un alumni de l’EFET Photographie

Aurélien Corlay, ancien étudiant de l’EFET Photographie, partage sa première expérience professionnelle entant que photographe pour une compagnie de croisière française. Il raconte fièrement en quoi sa formation en Bachelor Photographie a eu un impact positif sur le début de sa carrière. 

 

Photographe croisière

 

“[…] J’ai pu, je pense en grande partie grâce au nom de votre école sur mon CV, être engagé comme photographe pour une compagnie de croisière. Je suis parti pour un périple de 5 mois sur un bateau du Ponant, une compagnie française, au standing « luxe », pour y photographier une partie des plus belles destinations du nord de la Méditerranée

Inutile de préciser que cette expérience était exceptionnelle, bien au-dessus de ce à quoi j’aurais pu prétendre avant d’intégrer votre Bachelor. Je suis donc très content et fier d’avoir pu effectuer ce contrat comme première expérience professionnelle. 

Il aura fallu, grâce à la pertinence de votre enseignement, seulement un an pour me faire passer de débutant à professionnel. Le poste que je viens d’avoir au Ponant demandait une maîtrise globale de la chaîne de production ; prise de vue, editing, mise en page, impressions, vente. 

De l’utilisation technique d’un boitier, d’un flash et d’un fond, à une maitrise de la suite Adobe et d’imprimantes spécifiques et de massicoteuses pour des tirages de qualité professionnelle, j’ai pu assumer toutes les demandes de ce poste grâce à la formation très complète de votre bachelor intensif. Et pour cela je vous en remercie grandement. 

Plus anecdotiquement, j’ai bien conscience d’avoir paru parfois un peu à la traîne, notamment vis à vis de l’intensivité du Bachelor, mais aujourd’hui il n’en est rien. Tout ce que j’ai appris, de tous les professeurs, m’est bien resté en tête et me sert aujourd’hui quotidiennement. 

Aujourd’hui j’essaie de m’orienter le plus possible vers la presse et la photographie de reportage. Il me reste encore beaucoup à parcourir et à apprendre mais je suis pleinement motivé ! 

Donc encore merci à l’équipe des enseignants de l’EFET Photographie pour leur enseignement parmi les plus pertinents, et merci à vous aussi pour m’avoir accompagné pendant cette année de formation. Au plaisir de vous recroiser à l’EFET Photographie 

 

Comme Aurélien, il possible de se former à la photographie pour trouver le métier qui vous convient le mieux. L’EFET Photographie, avec ses 50 ans d’expertise, est le lieu de formation idéal pour cela. 

A l’issue de la 3e année de Bachelor Photographie ou de l'année de Bachelor Intensif Photographie, l’école délivre un titre de niveau 6 de photographe, reconnu par l’Etat et certifié par le ministre du travail.  

 

Les cours sont dispensés par des professionnels aguerris qui adapte leurs enseignements à la réalité du métier.  

Au cours de la 3ème année, les étudiants travaillent sur la création book et un site web qui leur serviront de vitrine pour se lancer dans la vie professionnelle. Un atout majeur pour retenir l’attention des agences de communication ou de publicité ainsi que des services de presse ou d’édition 

Le pouvoir de la photographie dans la publicité

visuel photo publicité

La photographie publicitaire s’affiche partout. Sur les murs des villes, dans les couloirs du métro ou sur le papier glacé des magazines : nul ne peut y échapper. Le but de la photographie en publicité est de faire rêver le consommateur et de provoquer des émotions pour l’emporter loin. À l’heure où nous sommes envahis par les écrans de toutes tailles, l’image fixe a-t-elle encore sa place ? Quel est le pouvoir de la photographie dans la publicité ?

visuel photo pub

© Pixabay

 

L’influence de l’image publicitaire

Pour marquer les esprits, il faut surprendre. Des images nouvelles doivent naître dans ce monde saturé d’informations, où l’œil est attiré et sollicité de tous côtés. L’arrivée des logiciels de retouche d’image a permis d’imaginer des photographies époustouflantes sans devoir y consacrer des sommes extravagantes. C’est la libération totale de la créativité du photographe ! La composition, les couleurs, l’ambiance : la photographie publicitaire fait rêver !

 

L’utilisation de la technique est indispensable : il faut lisser les formes et les matières pour les rendre plus esthétiques. Depuis quelques années, nous assistons néanmoins à un retour à l’authenticité. Atteindre le cœur du spectateur grâce à une histoire vraie, voilà aujourd’hui le but de la photographie en publicité.

 

 

Des photographies qui atteignent leur cible

Une grande complicité avec le modèle et un regard sincère sont le gage d’une image réussie. La photographie dans la publicité sert à provoquer une émotion.  En un clin d’œil, le cliché raconte une histoire. Elle emporte le spectateur là où il doit être emmené. L’heure est à la simplicité, car notre société a soif d’authenticité. Sur les supports traditionnels, l’image est fixe et sa force est intacte.

Malgré l’arrivée des nouveaux supports comme le web ou la vidéo, la photographie en publicité a encore de beaux jours devant elle.  La photographie dite commerciale doit avant tout séduire le lecteur. Il faut susciter l’envie de posséder l’objet ou de partir en voyage. Les qualités du produit doivent être mises en valeur.  Pourrait-on alors imaginer une publicité sans image ?

 

 

L’image, support de la communication de marque

Au fil des années, la photographie publicitaire est devenue un genre à part entière.  Des marques prestigieuses travaillent avec des photographes assurant exclusivement leur communication. Les photographes ne signent pas leurs images dans la publicité. Néanmoins, certaines collaborations sont célèbres.

 

Ainsi, on reconnaît au premier coup d’œil les photos de Sarah Moon lorsqu’elle réalise des clichés pour une célèbre marque de parfums, dans les années 1980. Des images aux couleurs surannées, au grain et au style si particulier.  Ce style onirique a marqué la mémoire collective. Photographie et publicité sont intimement liées.

Les images deviennent alors un élément à part entière de la communication des marques.

 

 

Le pouvoir de la photographie dans la publicité : un langage universel

Avec les réseaux sociaux et Internet, les icônes voyagent vite et facilement. L’image perdure en tant que support visuel universel, compris par tous. Un bon « packshot », c’est-à-dire la présentation du sujet dans un environnement approprié, avec une composition agréable, est le gage d’une photo de publicité réussie.

Création, sens de l’esthétique : la photographie en publicité exige la réalisation d’images soignées. La communication par l’image reste un atout majeur. Initiez-vous aux arcanes de la photographie publicitaire grâce aux formations proposées par l’EFET Photographie.

Bien choisir ses cartes mémoires

visuel carte mémoire

De sa capacité et de ses performances dépendent celles de votre appareil en photo et en vidéo. Choisir une carte mémoire, ce n’est donc pas seulement opter pour un format compatible avec votre appareil…. Explications.

visuel carte mémoire

© Pexel

Si ce n’est pas le seul critère de choix, il est évident qu’il faut avant tout choisir une carte mémoire adaptée au logement prévu à cet effet dans votre appareil. Commençons donc par nous intéresser aux différents formats existants. Les cartes MMC, SmartMedia, xD et autres Memory Stick ne se trouvent que sur des appareils anciens quand les CompactFlash sont encore employées dans certains reflex mais ont, elles aussi, été remplacées sur les modèles les plus récents. Aujourd’hui, vous trouverez donc deux grands types de cartes mémoires : les SD et les CFexpress, disponibles dans différents formats. Les microSD de 15 × 11 mm sont employées dans les tablettes, les smartphones, les camera d’action type GoPro ou les drones et les cartes SD de 24 × 32 mm dans la plupart des appareils photo. Les cartes CFexpress sont quant à elle utilisées dans les appareils les plus haut de gamme et les plus volumineux. Le format CFexpress Type B de 39 × 30 mm, de même dimensions que les cartes XQD, a été adopté par Canon, Fujifilm, Nikon, Panasonic, Sony, etc. quand le format CFexpress Type A de 20 x 28 mm n’est à ce jour utilisé que dans quelques appareils de la marque Sony. La première chose consiste donc à choisir une carte dont le format correspond au logement de votre appareil.

 

La capacité de stockage

De la capacité de stockage de votre carte mémoire dépend le nombre de photos et la durée des vidéos que vous pourrez enregistrer. Compte tenu de l’augmentation de la définition des capteurs et du poids important des vidéos, il est donc essentiel de choisir des cartes de grande capacité pour s’assurer d’une bonne autonomie. 32 Go ou 64 Go sont des capacités standard qui garantissent une autonomie correcte. Mais si vous faites beaucoup de vidéo, vous pourriez avoir intérêt à choisir une carte de capacité encore supérieure, 128 Go voire 256 Go. Cette donnée a d’ailleurs été à l’origine de l’évolution des cartes SD qui se sont appelées SDHC pour High Capacity lorsque leur capacité a été étendue jusqu’à un maximum de 32 Go puis SDXC pour eXtended Capacity pour les modèles les plus récents dont la capacité théorique a été portée à 2 To. Les cartes aux plus grandes capacités sont actuellement les CFexpress Type B qui atteignent 1, 2 et même 4 To. Songez néanmoins que plus vous stockez de contenu sur votre carte, plus vous risquez d’en perdre en cas de problème. Certains photographes préfèrent donc utiliser deux cartes de plus petites capacités qu’une seule « grosse » carte. Les appareils équipés d’un double logement pour cartes mémoires peuvent tous être paramétrés par débordement de l’une vers l’autre, par copie miroir pour avoir leur contenu en double exemplaire ou de manière à séparer le contenu en fonction du type de fichiers.

 

La vitesse d’écriture et de lecture

Pour profiter pleinement des performances de votre appareil, il faut également choisir une carte rapide. Sa vitesse d’écriture doit être suffisamment élevée pour enregistrer toutes les informations contenues par une rafale rapide et surtout une vidéo en haute définition. Ce point est donc essentiel. La vitesse de lecture a quant à elle une influence sur la rapidité avec laquelle vous pourrez copier son contenu sur votre disque. Cette vitesse a tout d’abord été signalée par la « classe » des cartes SD. Classe 6 indiquait par exemple un débit minimum en écriture de 6 Mo/s et classe 10 de 10Mo/s. En 2013, le standard UHS-II a été crée pour ce type de cartes : l’ajout d’une seconde rangée de connecteurs a permis d’accroître leur rapidité. Si les cartes SD UHS-I et UHS-II peuvent indifféremment être utilisées dans les appareils dotés d’un logement aux bonnes dimensions, il est impératif que sa connexion soit compatible UHS-II pour exploiter le potentiel supérieur de ce type de cartes. Ce qui n’est pas le cas de tous les appareils. Le débit des cartes UHS-I plafonne à 50 Mo/s. Complexe, le principe de classes a aujourd’hui été remplacée par une indication claire de la vitesse d’écriture et de lecture que l’on trouve inscrites aussi bien sur les cartes SD que les CFexpress.

 

Marque et qualité

Songez enfin que l’on n’accorde parfois qu’une importance relative aux cartes mémoires alors qu’elles sont les garantes de l’intégrité de vos photos et de vos vidéos. Si certains modèles sont disponibles à des tarifs attractifs sur des sites de vente en ligne, mieux vaut toujours privilégier des marques reconnues pour leur fiabilité. La durée de garantie peut être un bon indicateur, tout comme les conditions d’utilisation. Certains modèles bénéficient par exemple de matériaux plus robustes et d’une conception pensée pour résister aux chocs et aux intempéries.

La formation dispensée à l'EFET Photographie permet aux étudiants d'avoir toutes les connaissances nécessaires pour appréhender de manière professionnelle l'utilisation d'un appareil photo et le choix d'une carte mémoire.

Comment faire de la photographie sous-marine ?

visuel photo sous marine fb

La photographie sous-marine est une spécialité qui requiert un grand sens esthétique, la maîtrise des méthodes de prise de vue, mais aussi d’un équipement technique adapté. Porte ouverte sur un monde fascinant, coloré et silencieux, la photographie sous-marine est un domaine d’expertise exigeant. Que nécessite la pratique de cette discipline, existe-t-il des formations adaptées ?

visuel photo sous marine

© Pixabay

 

Que faut-il savoir pour faire de la photographie sous-marine ?

La photographie sous-marine est une spécialité de la photographie animalière qui requiert un grand sens esthétique, la maîtrise des méthodes de prise de vue, mais aussi d’un équipement technique adapté.

 

C’est une discipline exigeante qui nécessite en premier lieu de savoir plonger et d’être à l’aise sous l’eau. En effet, au moment de la prise de vue proprement dite, il faut être capable de demeurer fixe face à un rocher ou un corail pour ne pas le heurter (au risque de se blesser ou de dégrader l’environnement). Une bonne photographie de fonds marins ne contient aucune particule en suspension disgracieuse, car le photographe sait se déplacer sans soulever le sable. Toujours serein et calme, il n’effraie pas les poissons à son approche et est donc en mesure de capturer des scènes naturelles et originales.

 

Pour pratiquer la photographie sous-marine, il faut bien connaître son matériel et s’entraîner sur la terre ferme. Afin de prendre des clichés sur le vif, le photographe doit retrouver facilement les boutons et les réglages de son appareil. Il s’est entraîné afin de manipuler son équipement à l’aveugle et vêtu d’une combinaison en polyester.

 

Enfin, le photographe spécialisé en photographie sous-marine est conscient des spécificités de sa discipline et sait ne pas se mettre en danger. C’est donc un bon technicien, un artiste amoureux des fonds marins et un sportif aguerri.

 

 

Photographie sous-marine : quelle formation pour quels débouchés ?

Pratiquer la photographie sous-marine nécessite d’être un bon plongeur et d’avoir acquis les certifications propres à la discipline sportive. Il faut parallèlement être apte à travailler techniquement les clichés, au moment de la prise de vue comme en post-production. Les méthodes de la photographie s’apprennent dans des écoles spécialisées.

 

Les professionnels officient généralement en parallèle comme vidéastes sous-mains. Ils travaillent dans le cadre d’expositions photo, pour des musées ou des chaînes de télévision à l’occasion d’un documentaire.

 

Il est essentiel que la formation du photographe sous-marin comprenne l’apprentissage professionnel des logiciels de retouche d’image. En effet, l’élément eau absorbe les couleurs de manière progressive : plus le photographe opère en profondeur, plus la teinte bleue est prédominante. Bien que les experts de la photographie sous-marine s’équipent d’instrument de gestion de la lumière dans l’eau, il est important d’effectuer une session de retouche numérique en post-production.

 

À titre d’exemple, l’école Efet Photographie a intégré à son parcours post-bac les enseignements du numérique et du digital. Les participants aux formations sont invités tout au long de l’année à travailler de manière collaborative sur des projets pratiques.

 

Se spécialiser en photographie sous-marine permet d’obtenir des clichés d’une beauté sans pareille. Elle œuvre à la sensibilisation du public sur la vie des écosystèmes sous-marins, malheureusement encore trop méconnus et trouve une audience qui grandit de jour en jour.