This is my archive

Portrait de Emma Fréry, major de promotion Bachelor Photographie 2019-2020

Photographie

Major de promotion, major dossier et major jury de l’école… A seulement 24 ans, Emma Fréry ne manque pas de talent. En 2020 elle décrochait déjà le Grand Prix Paris Match du Photoreportage Etudiant pour son reportage « Handi’Chiens, ces héros de leur quotidien ». Retour sur son parcours.

 

Peux-tu nous parler de ton parcours scolaire ?

Je m'appelle Emma Fréry, j’ai 24 ans et j'ai obtenu un bac littéraire en 2015. Après mon baccalauréat, j'ai fait deux ans d’études en sciences du langage à la Sorbonne. En deuxième année, j’ai suivi un cours axé autour de la littérature et de la photographie, et j'ai nettement préféré le langage photographique au langage littéraire. C’est pourquoi j’ai intégré l’EFET Photographie en Bachelor pour trois ans.

 

Est-ce qu’une personne t’a marquée particulièrement pendant ces 3 années ?

En dernière année de Bachelor, chaque étudiant devait choisir un coach pour l’accompagner. Personnellement, j’ai choisi comme coach Philippe Breson parce que je trouvais que c'était un enseignant qui me disait les choses telles qu'elles étaient, qui savait me dire lorsque ça n'allait pas et surtout me dire comment je pouvais améliorer les choses.

Je l'ai trouvé très bienveillant et très à l'écoute. Il m'a vraiment donné d’excellents conseils. Il m'a beaucoup aidé à me trouver, moi, en tant que photographe, et à développer mon univers que je travaille encore actuellement. Sans lui, je ne sais pas vraiment où j'en serais. Pour tout cela, je le remercie infiniment.

 

As-tu un bon souvenir à partager ?

Un très bon souvenir que je garde en tête c’est au cours de ma dernière année de Bachelor. J’ai développé de fortes affinités avec certaines camarades, notamment avec Marie et Mélina, qui resteront de très bonnes amies.

Cela fait plaisir de trouver des amies sur qui compter. Il n'y a pas de rivalité ou de compétition, on s'entraide et on se pousse à se surpasser. Je trouve que c'est très important, surtout dans le milieu de la photo.

 

Qu’est-ce que cela te fait d’avoir été Major de promotion ?

Je suis sincèrement très honorée. J'ai été très surprise d'avoir été élue également major jury, je ne m'y attendais vraiment pas parce que je sais qu’au début de l'année, ce n’était pas particulièrement gagné.

Je ne m'étais pas encore totalement trouvée. J’ai beaucoup travaillé pour cela, notamment aux côtés de Monsieur Breson. Ça a vraiment été une révélation. Je suis très contente.

 

As-tu une dernière chose à ajouter ?

J’aimerai dire un grand merci aux enseignants, notamment Monsieur Breson, Noël Bourcier ou encore Fred Perrot, qui ont vraiment été à l'écoute. Ils nous ont vraiment donné de très bons conseils pour progresser et je les remercie énormément pour cela. Ils resteront pour moi un très bon souvenir de cette école.

Photographie : comment lancer sa propre activité ?

Photographie

Travailler à son compte fait rêver plus d’un professionnel. Il faut cependant acquérir des connaissances pointues quant aux dynamiques économiques du secteur, ainsi que faire preuve d’excellentes qualités techniques en photographie. Il est aussi crucial d’être un bon entrepreneur et de pouvoir anticiper les tendances : découvrez ce qu’il faut savoir avant de lancer votre activité et comment vous former au métier de photographe indépendant.

 

Lancer son activité en photographie : ce qu’il faut savoir

La clé pour lancer son activité, c’est d’avoir pu observer un mentor afin de s’inspirer de son travail et de ses techniques. C’est au contact des photographes indépendants que l’étudiant comprendra les rouages et les dynamiques du secteur. Ainsi, il saura dès la fin de sa formation déjouer les pièges structurels de l’entreprenariat et mettra immédiatement en place une activité saine.

Pour lancer son activité et travailler à son compte, il est aussi crucial d’avoir une bonne vitrine internet. Un bon site web et une identité visuelle attrayante sont une garantie de la qualité du travail du photographe pour les internautes.

S’appuyer sur un bon site permet au photographe de se présenter en tant qu’artiste et de proposer une sélection de ses meilleurs clichés. C’est surtout un excellent moyen d’entrer en contact avec son public ou ses acheteurs. À ce titre, maîtriser les réseaux sociaux est devenu un incontournable pour les photographes professionnels qui ont lancé leur activité. Instagram, Twitter ou encore Facebook permettent un espace d’exposition digital et favorisent une grande affluence des visites.

Enfin, développer une gamme de produits cohérente, pertinente et attractive est nécessaire pour lancer son activité. Le photographe qui travaille à son compte peut être un artiste, mais il doit savoir insérer son activité dans les réalités économiques du secteur. Ainsi, il doit pouvoir proposer des services qui capteront l’attention sur la toile et satisferont ses clients.

 

Lancer son activité de photographe : se préparer

Pour lancer son activité, il est nécessaire de faire preuve des qualités dignes d’un bon photographe et du dynamisme d’un excellent entrepreneur.

Il faut donc avoir bénéficié d’une formation de photographe qui comporte une double facette : elle doit lui apporter la maîtrise des techniques de prise de vue et permettre la mise en œuvre de son projet professionnel.

Il est aussi crucial que les apprentissages de la formation comprennent l’étude des dynamiques de l’industrie de la photographie. Certains enseignements doivent impérativement figurer au programme d’un bon programme, tels que :

– L’écriture de portfolio.
– La mise en place d’une identité visuelle.
– La législation, la commercialisation et la réglementation des droits d’auteur.
– La connaissance de son futur statut réglementaire et commercial.

À ce titre, l’Efet Photographie forme au métier de photographe et les équipes de l’école accompagnent leurs étudiants dans la construction de leur avenir professionnel. Pour cela, les formations comprennent invariablement la modalité de l’apprentissage par des stages. Le réseau GES, dont fait partie l’établissement, est présent pour ses anciens élèves durant toute leur vie professionnelle.

Lancer son activité ne s’improvise pas, il faut que le futur photographe puisse prendre appui sur deux éléments cruciaux de sa formation technique. Une connaissance actualisée de l’industrie de la photographie et un réseau stable, solide, disponible et composé de professionnels prêts à l’épauler.

Festival Confrontations Photo 2021 : les alumni de l’EFET Photographie à l‘honneur

Photographie

Après un an d’attente à cause de la pandémie mondiale, la ville de Gex, située dans l’Ain, accueille de nouveau l’un des événements artistiques les plus attendus de la rentrée : le Festival Confrontations Photo. Un événement important dans le monde de la photographie, auquel participe l’EFET Photographie depuis de nombreuses années. 

 

Forte de 50 ans d’expertise, l’EFET Photographie a le plaisir d’être une nouvelle fois invitée pour cet événement prestigieux qui aura lieu du 17 au 19 septembre prochain. Le travail de 5 alumni sera mis à l’honneur, une véritable fierté pour eux et pour l’ensemble de l’équipe pédagogique de l’école.

 

Des alumni talentueuses et engagées

Ingrid Bailleul, Kangrong He, Jihyun Park et Ambre Raimbault, toutes diplômées du Bachelor Photographie promotion 2019, présenteront leurs travaux lors de ce festival. Elles aborderont à travers leurs photographies des thèmes variés tels que le paraître, l'apparence contrôlée, l'identité affirmée, la gestuelle chorégraphiée ou l'évocation affective à travers un lieu de vie.

Cette édition accueillera également les travaux récents d’Alexandra Laffitte, diplômée du Bachelor Photographie promotion 2013 et lauréate du Festival Confrontations Photo 2014.
Dans son projet nommé « Empreintes », elle montrera le visage de plusieurs femmes dissimulé à l'aide de masques, accessoires ou maquillage, en mettant en évidence le corps, une position, une gestuelle, une esthétique…

 

Le Bachelor Photographie, un tremplin vers le monde professionnel

Grâce à l’ensemble des cours suivis au sein du Bachelor Photographie, les étudiants acquièrent une réelle expertise dans le domaine.

Ils développent notamment leur technique en prise de vue argentique et numérique, en traitement d’image, en post production… Autant de compétences essentielles pour devenir un photographe professionnel.

Tout au long de leur cursus, ils sont accompagnés par des professionnels du secteur, qui garantissent l’actualité et l’efficacité des compétences transmises. La mise en avant du travail des alumni de l’EFET Photographie au Festival Confrontations Photo de Gex témoignage à nouveau du niveau d’excellence de leur formation et de la reconnaissance de nos étudiants à la suite de leur cursus.

Définition et concept de la photographie japonaise

Visuel_photographie_japonaise

La fascination de nos sociétés pour l’Orient concerne tous les aspects de cette culture : alimentation, mode de vie, habillement, musique et arts. Estampes, poésie et clichés japonais ont toujours fortement influencé les artistes occidentaux. Entre artisanat millénaire et technologies de pointe, le Japon est un pays à part et une source d’inspiration pour de nombreux photographes. En quoi consiste la photographie japonaise, est-il possible de la maîtriser en se formant en France ?

 

Photographie_japonaise

 

La photographie japonaise : qu’est-ce que c’est ?

La filiation entre la photographie japonaise et les estampes est évidente. On y retrouve les mêmes points de vue, les mêmes sujets et la même composition. Ces disciplines partagent un autre point commun : les deux supports sont des multiples. En effet, l’aristocratie japonaise collectionnait les peintures originales quand la majorité de la population préférait l’estampe, qui était imprimée en un grand nombre d’exemplaires.

La photographie se positionne donc comme l’héritière de cette tradition et a été adoptée avec engouement au Japon aux alentours des années 1860. Si elle a fait du chemin depuis, on retrouve dans les codes de la photographie japonaise d’aujourd’hui une forte influence des estampes et des anciens clichés du pays du début du XIXe siècle.

Souvent qualifiée de minimaliste, la photographie japonaise se définit principalement par une composition dominée par une faible profondeur de champ et des arrière-plans épurés. C’est un style qui joue avec la lumière : les sujets sont légèrement sur-exposés, voire délavés face au soleil. Très appréciée, cette manière d’illuminer la composition du cliché a même inspiré un filtre Instagram à succès.

Le sujet est aussi un élément spécifique de la photographie japonaise. Sont très souvent photographiés en gros plan des objets de la vie quotidienne : tasses à thé, animaux domestiques ou assiettes. Là encore l’impact sur les clichés d’Instagram et des réseaux sociaux les plus en vogue est considérable. Choisir de pratiquer ce style de prises de vue, c’est apprendre à révéler l’implicite et à embellir l’ordinaire. En effet, la photographie japonaise est emprunte des différents courants artistiques nippons qui ont toujours su donner à voir l’émotion cachée derrière la banalité d’un sujet ou d’objets de tous les jours.

 

Comment maîtriser les codes de la photographie japonaise ?

Pour reprendre les conventions définissant le style japonais, il faut savoir :

  • Réduire la profondeur de champ
  • Régler ses équipements pour minimiser au maximum la saturation
  • Rajouter du vignetage
  • Jouer sur les couleurs et apposer une dominante froide (bleu ou vert)
  • Surexposer l’image

Savoir maîtriser les techniques de la discipline est une compétence cruciale pour les professionnels. Pour y arriver, le photographe doit suivre une formation technique de haut niveau dans un établissement spécialisé. À ce titre, l’EFET Photographie propose un cursus complet en photographie qui comporte des enseignements pratiques, permettant de maîtriser tous les outils des prises de vue professionnelles.

 

La photographie japonaise peut être pratiquée par tous les photographes formés aux techniques traditionnelles. Il faut en revanche avoir suivi des stages en entreprises réguliers et professionnalisants. C’est en effet l’expérience et la pratique qui conduiront l’étudiant à maîtriser la photographie japonaise.

Comment définir la photographie artistique ?

Photographie

Entre support d’illustration, pratique technique, chimie et art, la photographie est une discipline aux multiples facettes dont la définition n’est pas toujours facile à aborder. Chercher à définir la photographie artistique revient à déterminer ce qu’est l’art. Concept flou et sans limites fixes, c’est une activité humaine qui vise à exprimer les émotions et les réflexions humaines sous toutes ses formes et à propos de tous les sujets. Alors qu’est-ce que la photographie artistique ? Existe-t-il réellement une définition du concept ?

Photographie artistique : la prépondérance du photographe

La photographie artistique peut être considérée comme l’acte d’un technicien qui utilise l’image pour transmettre ses émotions et sa vision de la vie. Dans cette discipline, c’est l’interprétation de l’artiste photographe qui prédomine. À ce titre, le professionnel peut être amené à retoucher ses clichés afin de rendre encore plus perceptibles ses impressions ou ses sentiments.

Les arts sont classifiés en 7 domaines différents, la photographie artistique est associée au cinéma pour former le « 7e art ». Selon certains, elle appartiendrait plutôt à la catégorie des arts visuels (le troisième art), en compagnie de la peinture et du dessin.

Les artistes photographes étant en mesure de questionner le monde, créer des sentiments, faire part de leurs préoccupations, de leurs croyances et de leurs convictions, il n’est plus à démontrer que la photographie a toute sa place au Panthéon des arts.

Une discipline qui nécessite des compétences techniques

Cette première définition du concept de photographie artistique permet d’appréhender la photographie de manière plus générale. Quelle que soit sa discipline de prédilection, l’artiste qui choisit la photographie comme moyen d’expression est nécessairement un fin technicien. En effet, maîtriser un appareil photo professionnel, le jeu des lumières, leur installation et leur utilisation ou encore adopter le bon cadrage et les bons réglages sont des méthodes professionnelles qui s’acquièrent à l’occasion d’une formation spécialisée en photo.

En effet, les photographes se forment au sein d’un établissement spécialisé et de préférence au contact des experts du secteur. C’est la formule pédagogique qu’a choisi d’appliquer l’EFET Photographie, qui propose un parcours complet à travers un Bachelor Photographie en 3 ans, permettant l’obtention d’un titre reconnu par l’Etat de niveau 6.

Les participants à la formation sont invités à réaliser des travaux pratiques tout au long de l’année et à réaliser des périodes de stage en entreprise.

La photographie artistique séduit de nombreux adeptes, particuliers comme professionnels. Le public apprécie cette forme d’art, à la portée de tous, mais néanmoins d’une esthétique et d’une technicité hors du commun.

L'EFET AU SALON DE LA PHOTO

EFET salon Photo

Rendez-vous annuel et incontournable des professionnels et des grands amateurs, le Salon de la Photo propose à la Porte de Versailles un large coup d'œil sur les dernières versions d'appareils de prise de vue et sur le matériel de post production, imprimantes et logiciels. Pour cette foire annuelle commerciale et technique, les marques concurrentes redoublent de séduction envers  leurs visiteurs,  en animant des  démonstrations assorties d'attractions, de préférence animées et photogéniques.

Le Salon de la Photo élargit son audience à la culture photographique par une vingtaine de Grandes Rencontres publiques avec les photographes célèbres,  par le programme plusieurs expositions, comme  la scénographie centrale consacrée cette année au grand photographe allemand Franz Christian Gundlach avec ses « Itinéraires » et  la rétrospective américaine « So Long » de Bernard Plossu, organisée par la Maison européenne de la photographie et par l'événement international des Editors’ Photo Award Zooms Japon/Prix du public Zooms Japon 2018.

EFET salon Photo

Pendant toute la durée du Salon, les professeurs et les étudiants de l'Efet, toujours heureux de retrouver les anciens devenus professionnels, accueillent les candidats aux métiers de l'image pour les conseiller, les orienter et présenter.

 

Efet. Salon de la Photo Porte de Versailles. stand n° 5.1.D 019, du 8 au 12 novembre 2018.

 

EFET salon Photo - Aude Lerin

Crédit Photo : Aude LERIN

L’EFET AUX RENCONTRES D’ARLES 2018

C'est devenu un bel événement, presqu'une tradition : les Rencontres d'Arles sont aussi le retour de l'Efet dans le cercle magique qui gravite autour du Forum de l'antique cité romaine. Organisée depuis juillet 2012 par Delphine Bonnet, professeur de tirage argentique, l'exposition en galerie des travaux des étudiants draine collectionneurs, critiques et acteurs de manifestations arlésiennes ou internationales. Etablie à Arles depuis peu, Delphine Bonnet qui partage son temps entre sa galerie et son laboratoire fine art, a continué pour cette édition 2018 son travail de commissaire d'exposition pour promouvoir la production d'étudiants venus accrocher les travaux qui marquent le début de leur parcours d'auteurs, de leur entrée sur le territoire contrasté de l'art contemporain. Cette année, ils sont plus de vingt à avoir fait le voyage, exposé ou vendu leurs œuvres: Ingrid Bailleul, Charlotte Cazenave, Rami Chams, Aurélie Chantelly, Priscilla Credie, Aline Deschamps, Alexis Guérard, Barbara Guillois, Hélène Huet, Joanna Doukov, Astar Keren, Young-geun Kim, Salomé Legrand, Ruoyang Li, Ting Liu, Laure Neves Pedro, Martin Paris, Eugénie Ragot, Ambre Raimbault, Lou-Anne Ralite, Audrey Saporta, Orianne Thellier, Inès Thelliez.Photos : Jeanne Le Louarn, Ambre Raimbault : retouche Audrey Saporta.

En voir plus >

Promotion Photo 2018, Palmarès « Jury professionnel »

Le jury de fin d'études  la promotion 2017 présidé par le photographe Denis Dailleux et constitué de Dominique Anguise, commissaire d'expositions, Noël Bourcier, graphiste, auteur, Hervé Bruhat, photographe, Édouard Caupeil, photographe, Nathalie Dran, relations publiques événémentiel/photographie, Marion Dubier-Clark, photographe (efet promo 2003), Claude Geiss, directeur festival chroniques nomades, Patrick Lévêque, photographe, Hervé Le Goff, journaliste, critique, Bénédicte Siroux, attachée de presse, Jean-Luc Soret, commissaire d'exposition à la Maison européenne de la photographie, Ludovic De Vita, galeriste ON Gallery, Paris Shanghai, CLaude Vittiglio, journaliste multimédia TV5, Lisa Vivier, galeriste, Michèle Warnet, journaliste spécialisée photo Les Échos, a, le mercredi 20 juin, validé au titre « Jury professionnel » du diplôme RNCP, le travail de Rami Chams, Aurélie Chantelly, Priscilla Credie, Mathieu De Michiel, Alexis Guérard, Ruth Guillaume, Barbara Guillois, Hélène Huet, Minnseo Kim, Clara Laeng, Ruoyang Li, Ting Liu, Laure Neves Pedro, Eddy Pividor, Lou-Anna Ralite, Audrey Saporta, Orianne Thellier, Inès Thelliez, Yu Wang, Yuelu Zhang. Par ailleurs, Lou Anna Ralite, Laure Neves Pedro, Minnseo Kim ont respectivement obtenus les prix des Meilleur dossier, Meilleure exposition et meilleur site internet. Le titre de major de promotion a été décerné à Laure Neves Pedro. La liste définitive des lauréats du diplôme RNCP intégrant la scolarité 2017-2018 sera publiée dans la première quinzaine de juillet.

En voir plus >

Praticiens photo, Promotion 2018, le Palmarès « Jury professionnel ».

Mercredi 13 juin, le jury présidé par le photographe Gérard Uféras et constitué de Françoise Ayxendri, journaliste, Dominique Anguise, commissaire d'expositions, Evelyne Eveno, Directrice Photo Magazine Biba, Philippe Breson, photographe plasticien, Pascale Brites, journaliste indépendante, Alain Burosse, photographe plasticien, Florence Drouhet, directrice artistique du Festival de La Gacilly, Joël Halioua, consultant éditorial, Jacques Hémon, journaliste, Paul Khayat, journaliste, Loic Le Gall, directeur artistique, Patrick Le Bescont, directeur des éditions Filigranes, Patrick Lévêque, Photographe, Alain Le Bacquer, Photographe, Hervé Le Goff, journaliste, Critique, Nicolas Pasco, agent de photographes, Philippe Serieys, photographe, a validé, au titre « Jury professionnel » du diplôme RNCP, le travail de Patrice Alcool, Gregory Balsamo, Amélie Belaidi, Zéphyrin Besombes, Jérôme Boyot, Ismail Chraibi, Pierre Coeffic, Larissa Dachevski, Marjorie Da Silva, Aline Deschamps, Patrick Dolbois, Joanna Doukov, Olivier Duchêne, Mélyne Gourdin, Astar Keren, Gilbert Lasne, Sophie Lecanu, Gerson Mivekannin, Olga Rosliakova et Alexia Vermiglio. Aline deschamps, Astar Keren et Mélyne Gourdin ont respectivement obtenus les prix des meilleur dossier, meilleure exposition et meilleur site. Le titre de major de promotion a été décerné à Aline Deschamps et une mention spéciale a été attribuée à Gregory Balsamo. La liste définitive des lauréats du diplôme RNCP intégrant la scolarité 2017-2018 sera publiée dans la première quinzaine de juillet.

 

DES SOUVENIRS NOMMÉS FUTUR

L'EFET AUX RENCONTRES D'ARLES 2018 :

Ils sont quelques uns, fraîchement diplômés de l'école EFET à Paris, à proposer leurs travaux réalisés sur des techniques anciennes ou par les derniers logiciels. En réalité, l'ancrage du temps leur importe peu, puisqu'ils se rejoignent sur un terrain sans autres repères que la métamorphose et  le rêve, la réminiscence ou l'absurde, le bouleversement des codes et l'inquiétude des apparences.