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Photographie : le pouvoir des images de presse

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Le pouvoir des images dans les médias est colossal. Une photographie illustre et soutient un argumentaire. Elle clarifie le propos du journaliste et d'aide à la compréhension du lecteur. Dans le photo-journalisme ou le photo-reportage, le visuel revêt un rôle central, la photographie comporte en elle-même son propre message. Elle est alors utilisée pour faire réfléchir, dénoncer et donner un point de vue politique. Quel est donc le pouvoir des images de presse sur le public et comment sont-elles utilisées par les professionnels ?

 

Quel est le rôle de l'image de presse ?

Dès les années 1980, la photographie est reconnue comme un mode d'illustration des articles de presse. Auparavant, les journaux étaient illustrés par des artistes spécialisés, qui proposaient des supports visuels tels des dessins, des gravures ou encore des lithographies. Ce sont les quotidiens qui vont publier en premier des reportages photographiques, c'est par exemple le cas du fameux Petit Journal.

L'image peut avoir deux fonctions : illustrer un article ou faire réfléchir le spectateur. Ainsi, dans la presse spécialisée comme les magazines géographiques, axés sur l'environnement et les paysages, l'image est illustrative. Invitation au voyage, à la poésie ou à la découverte, elle sensibilise le lecteur aux enjeux environnementaux. Il en va de même pour la presse féminine, par exemple, qui utilise l'image comme support explicatif de son sujet : la photographie permet de comprendre la description d'une tenue.

Les magazines spécialisés en photographie, quant à eux, font la part belle aux clichés artistiques. Ils utilisent cependant eux aussi l'image comme support illustratif et facilitateur de la compréhension du lecteur : clichés des appareils photo ou du matériel technique démontés, pas à pas pour les mettre en fonction, etc.

Dans la presse quotidienne et le photoreportage, la photographie est utilisée comme un média porteur d'un message à part entière. Un bon cliché est parfois même considéré comme se suffisant à lui-même : il porte en lui son propre message et qu'il n'a pas besoin d'explication. Ce retournement des rôles est prépondérant dans notre société où l'image est omniprésente et dont la force est démultipliée.

L'image de presse : un pouvoir par l'impact

Très rapidement, on note une tendance nette à utiliser des images choquantes dans la presse. Les professionnels ont considéré que l'image permet d'en dire plus que le texte qui lui est associé. Universelle, elle se comprend de tous, quelle que soit la langue parlée et s'adresse aussi aux personnes analphabètes.

En France, les autorités de régulation sont intervenues afin de protéger le public sensible.
Il est crucial que les professionnels sachent faire une utilisation raisonnée du pouvoir des visuels dans la presse, au risque de tomber dans l'émotionnel et le reportage choc uniquement. Car l'image a un réel pouvoir sur le spectateur, elle dégage de la force, du sentiment.

Pour apprendre à produire ces images de presse ou à les sélectionner en vue de leur parution dans un titre numéro, il faut suivre une formation professionnalisante en photographie. Pour adapter ses compétences au monde du journalisme, il est conseillé de suivre de nombreux stages afin de se former auprès des professionnels. À ce titre, le parcours photographie de l'école Efet Photographie forme aux techniques professionnelles de la photographie. Les étudiants sortants peuvent choisir de travailler dans le photo-journalisme, la publicité, l'illustration ou même la photographie culinaire.

La force des images a été parfaitement comprise et utilisée par les professionnels de l'information, qui l'intègrent aujourd'hui à chaque publication. Avec l'essor des réseaux sociaux, l'image est omniprésente et les experts du secteur doivent apprendre à proposer une utilisation raisonnée du média afin de toujours proposer une information viable et objective.

Prix Picto de la Mode 2021 : 3 alumni de l’EFET Photographie en finale

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Quelques mois après l’obtention de leur diplôme, elles n’auront pas attendu longtemps pour mettre en lumière leur talent et leur fibre artistique. Louise Binet, Lucrèce Hamon et Chloé Tocabens, toutes alumni de l’EFET Photographie, figurent parmi les 25 finalistes de l'édition 2021 du prestigieux Prix Picto de la Mode.

 

Le jury du prix, présidé par le célèbre couturier Jean-Paul Gaultier, a désigné parmi toutes les candidatures les 25 finalistes de l’édition 2021.

 

Des photographes talentueuses

Louise Binet et Lucrèce Hamon, diplômées du Bachelor Photographie promotion 2021 et Chloé Tocabens, diplômée du Bachelor Intensif promotion 2021, ne manquent pas de talent.

Fraîchement sorties de l’école, elles n’ont pas hésité à participer à ce célèbre concours pour mettre en avant leur travail. Travail de qualité, qui leur a permis de figurer dans les 25 finalistes de ce prestigieux concours du Prix Picto de la Mode 2021.

 

Un prix de renommé mondiale

Initié en 1998 par le laboratoire Picto, maison mère du groupe Pictorial, le Prix a pour vocation de soutenir les photographes de mode de moins de 35 ans. Ouverte à l'international depuis 2013, la compétition dotée par Picto Foundation – le fonds de dotation du groupe – s'est imposée comme une des étapes essentielles dans la carrière des jeunes photographes.

Dès leur candidature, les artistes se confrontent au monde professionnel, ici représenté par un large panel d’acteurs issus du secteur de la presse, de l'édition et de l'industrie photographiques.

L’EFET Photographie ouvre une nouvelle formation en cours du soir

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Vous avez suivi une formation en photographie et vous maîtrisez la prise de vue en studio, la retouche et l'impression numérique ? Vous souhaitez vous perfectionner mais surtout vous professionnaliser ? Vous l'attendiez, elle est arrivée : l'EFET Photographie ouvre une nouvelle formation en cours du soir, pour les plus expérimentés. Focus sur son contenu et ses objectifs.

 

Cette nouvelle formation est destinée aux personnes ayant déjà suivi des cours du soir ou à temps partiel à l'EFET Photographie (ou équivalent). Les cours sont dispensés tous les mercredis de 19h à 23h dans les locaux de l'école situés 20 rue Bouvier à Paris.

Une formation pour se perfectionner

La prise de vue, le traitement numérique et l'impression font partie des nombreux aspects essentiels à maîtriser pour exercer le métier de photographe. Pour aller encore plus loin, l'EFET Photographie propose une formation supplémentaire permettant de se perfectionner sur tous les aspects du métier.

Au programme : prises de vue en studio et hors studio (avec mise en application en photographie publicitaire, industrielle, de reportage, d'illustration, d'architecture…), numérisation d'images, tirages, création de profils ICC, traitement numérique de l'image entre autres.

Nathalie Fabre, Chargée des Admissions et des Relations Entreprises de l'EFET Photographie complète : « Nous proposons des séances de cours qui alternent entre la pratique du studio, du reportage, de la post-production mais qui abordent surtout les aspects juridiques du métier de photographe, afin de vous permettre de faire vos choix de statuts en tant que professionnels ».

Des cours dispensés par des professionnels du métier

Organisée au sein de l'EFET Photographie sur du matériel professionnel et animée par des photographes en activité, cette formation s'articule autour de pratiques photographiques, graphiques, artistiques et technologiques, nécessaires pour réussir professionnellement dans le monde de l'image.
Forte d'une expérience de plus de 50 ans et d'une équipe d'enseignants composée de photographes et professionnels accomplis, l'EFET Photographie propose des formations pluridisciplinaires aux métiers de la photographie et de l'image depuis 1970.

L'expertise et la passion sont au cœur de la pédagogie dispensée par l'EFET Photographie. Grâce à ses formations complètes et professionnalisantes, l'école forme et accompagne les photographes de demain, dans tous les domaines de la profession.

Photographie : ces techniques pour retoucher une image

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Afin d’obtenir un haut niveau de qualité, les photographes professionnels ont recours à la retouche de leurs images et cette phase fait à présent partie intégrante de leur travail. Quelles sont les techniques de base de la retouche d’images et comment se former pour maîtriser les méthodes et les outils professionnels ?

Retouche d’image : les techniques courantes

La retouche d’images est une étape d’élaboration et de création essentielle pour la création d’une bonne photographie. Elle s’effectue en post-production, à l’aide de logiciels informatiques spécialisés.

La première étape de la retouche d’image est appelée développement. C’est une phase pendant laquelle le professionnel ajuste les réglages fondamentaux du cliché : l’exposition, la balance des blancs, la reprise des couleurs ou les contrastes. Pour aller plus loin dans la retouche, il est possible d’appliquer un filtre sur le fichier d’origine. À ce titre, il est judicieux de travailler sur une copie de la photographie, afin de ne pas perdre son travail lors d’une manipulation malencontreuse. Une autre technique des reprises numériques des photographies consiste à convertir un cliché en noir et blanc.

Les professionnels passent aussi invariablement par une reprise des yeux rouges. Pour cela, les logiciels proposent des outils tampons qui les corrigent et font disparaître certains éléments dérangeants. Enfin, plus techniques mais néanmoins accessibles au grand public, les outils de mise en perspective donnent du mouvement aux clichés. Les flous de diaphragme, de profondeur ou directionnels offrent une palette d’effets au rendu professionnel.

Les photographes amateurs ont accès à diverses solutions afin de reprendre leurs clichés. De nombreux éditeurs proposent en effet une version gratuite en ligne de leur logiciel. Cependant, c’est uniquement grâce à une formation professionnalisante qu’il est possible de maîtriser les instruments numériques professionnels de la retouche d’images.

 

Comment procéder à la retouche de ses images ?

S’il est possible d’effectuer des retouches via un logiciel gratuit, un haut niveau de rendu ne peut s’atteindre qu’au moyen de logiciels professionnels. À ce titre, le leader Photoshop offre une multitude de fonctionnalités avancées qui assurent un résultat de qualité. Quant à l’éditeur Lightroom, il permet de retoucher ses images comme de les classer de manière optimale.

Pour apprendre à maîtriser toutes les techniques professionnelles de la retouche d’images, il est crucial de suivre une formation professionnelle. Il peut s’agit d’un parcours en photographie ou en design graphique.

Il est important que l’étudiant puisse prendre en main ces plateformes au plus tôt au sein de son parcours et qu’il soit amené à produire dès le début de ses études des rendus via ces interfaces. En effet, c’est l’expérience et le temps de pratique qui permettent de réellement maîtriser ces outils. L’Efet Photographie propose un Bachelor qui comporte les apprentissages du numérique. Les cours y sont animés par des professionnels du secteur en poste, qui maîtrisent parfaitement ces logiciels et actualisent constamment leur contenu pédagogique.

 

Les étudiants comme les professionnels qui utilisent les supports de la retouche numérique d’image doivent constamment effectuer une veille de leur secteur. Ces logiciels sont en constantes évolutions, les développeurs qui y travaillent proposent constamment de nouvelles fonctionnalités.

Portrait de Emma Fréry, major de promotion Bachelor Photographie 2019-2020

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Major de promotion, major dossier et major jury de l’école… A seulement 24 ans, Emma Fréry ne manque pas de talent. En 2020 elle décrochait déjà le Grand Prix Paris Match du Photoreportage Etudiant pour son reportage « Handi’Chiens, ces héros de leur quotidien ». Retour sur son parcours.

 

Peux-tu nous parler de ton parcours scolaire ?

Je m'appelle Emma Fréry, j’ai 24 ans et j'ai obtenu un bac littéraire en 2015. Après mon baccalauréat, j'ai fait deux ans d’études en sciences du langage à la Sorbonne. En deuxième année, j’ai suivi un cours axé autour de la littérature et de la photographie, et j'ai nettement préféré le langage photographique au langage littéraire. C’est pourquoi j’ai intégré l’EFET Photographie en Bachelor pour trois ans.

 

Est-ce qu’une personne t’a marquée particulièrement pendant ces 3 années ?

En dernière année de Bachelor, chaque étudiant devait choisir un coach pour l’accompagner. Personnellement, j’ai choisi comme coach Philippe Breson parce que je trouvais que c'était un enseignant qui me disait les choses telles qu'elles étaient, qui savait me dire lorsque ça n'allait pas et surtout me dire comment je pouvais améliorer les choses.

Je l'ai trouvé très bienveillant et très à l'écoute. Il m'a vraiment donné d’excellents conseils. Il m'a beaucoup aidé à me trouver, moi, en tant que photographe, et à développer mon univers que je travaille encore actuellement. Sans lui, je ne sais pas vraiment où j'en serais. Pour tout cela, je le remercie infiniment.

 

As-tu un bon souvenir à partager ?

Un très bon souvenir que je garde en tête c’est au cours de ma dernière année de Bachelor. J’ai développé de fortes affinités avec certaines camarades, notamment avec Marie et Mélina, qui resteront de très bonnes amies.

Cela fait plaisir de trouver des amies sur qui compter. Il n'y a pas de rivalité ou de compétition, on s'entraide et on se pousse à se surpasser. Je trouve que c'est très important, surtout dans le milieu de la photo.

 

Qu’est-ce que cela te fait d’avoir été Major de promotion ?

Je suis sincèrement très honorée. J'ai été très surprise d'avoir été élue également major jury, je ne m'y attendais vraiment pas parce que je sais qu’au début de l'année, ce n’était pas particulièrement gagné.

Je ne m'étais pas encore totalement trouvée. J’ai beaucoup travaillé pour cela, notamment aux côtés de Monsieur Breson. Ça a vraiment été une révélation. Je suis très contente.

 

As-tu une dernière chose à ajouter ?

J’aimerai dire un grand merci aux enseignants, notamment Monsieur Breson, Noël Bourcier ou encore Fred Perrot, qui ont vraiment été à l'écoute. Ils nous ont vraiment donné de très bons conseils pour progresser et je les remercie énormément pour cela. Ils resteront pour moi un très bon souvenir de cette école.

Photographie : comment lancer sa propre activité ?

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Travailler à son compte fait rêver plus d’un professionnel. Il faut cependant acquérir des connaissances pointues quant aux dynamiques économiques du secteur, ainsi que faire preuve d’excellentes qualités techniques en photographie. Il est aussi crucial d’être un bon entrepreneur et de pouvoir anticiper les tendances : découvrez ce qu’il faut savoir avant de lancer votre activité et comment vous former au métier de photographe indépendant.

 

Lancer son activité en photographie : ce qu’il faut savoir

La clé pour lancer son activité, c’est d’avoir pu observer un mentor afin de s’inspirer de son travail et de ses techniques. C’est au contact des photographes indépendants que l’étudiant comprendra les rouages et les dynamiques du secteur. Ainsi, il saura dès la fin de sa formation déjouer les pièges structurels de l’entreprenariat et mettra immédiatement en place une activité saine.

Pour lancer son activité et travailler à son compte, il est aussi crucial d’avoir une bonne vitrine internet. Un bon site web et une identité visuelle attrayante sont une garantie de la qualité du travail du photographe pour les internautes.

S’appuyer sur un bon site permet au photographe de se présenter en tant qu’artiste et de proposer une sélection de ses meilleurs clichés. C’est surtout un excellent moyen d’entrer en contact avec son public ou ses acheteurs. À ce titre, maîtriser les réseaux sociaux est devenu un incontournable pour les photographes professionnels qui ont lancé leur activité. Instagram, Twitter ou encore Facebook permettent un espace d’exposition digital et favorisent une grande affluence des visites.

Enfin, développer une gamme de produits cohérente, pertinente et attractive est nécessaire pour lancer son activité. Le photographe qui travaille à son compte peut être un artiste, mais il doit savoir insérer son activité dans les réalités économiques du secteur. Ainsi, il doit pouvoir proposer des services qui capteront l’attention sur la toile et satisferont ses clients.

 

Lancer son activité de photographe : se préparer

Pour lancer son activité, il est nécessaire de faire preuve des qualités dignes d’un bon photographe et du dynamisme d’un excellent entrepreneur.

Il faut donc avoir bénéficié d’une formation de photographe qui comporte une double facette : elle doit lui apporter la maîtrise des techniques de prise de vue et permettre la mise en œuvre de son projet professionnel.

Il est aussi crucial que les apprentissages de la formation comprennent l’étude des dynamiques de l’industrie de la photographie. Certains enseignements doivent impérativement figurer au programme d’un bon programme, tels que :

– L’écriture de portfolio.
– La mise en place d’une identité visuelle.
– La législation, la commercialisation et la réglementation des droits d’auteur.
– La connaissance de son futur statut réglementaire et commercial.

À ce titre, l’Efet Photographie forme au métier de photographe et les équipes de l’école accompagnent leurs étudiants dans la construction de leur avenir professionnel. Pour cela, les formations comprennent invariablement la modalité de l’apprentissage par des stages. Le réseau GES, dont fait partie l’établissement, est présent pour ses anciens élèves durant toute leur vie professionnelle.

Lancer son activité ne s’improvise pas, il faut que le futur photographe puisse prendre appui sur deux éléments cruciaux de sa formation technique. Une connaissance actualisée de l’industrie de la photographie et un réseau stable, solide, disponible et composé de professionnels prêts à l’épauler.

Festival Confrontations Photo 2021 : les alumni de l’EFET Photographie à l‘honneur

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Après un an d’attente à cause de la pandémie mondiale, la ville de Gex, située dans l’Ain, accueille de nouveau l’un des événements artistiques les plus attendus de la rentrée : le Festival Confrontations Photo. Un événement important dans le monde de la photographie, auquel participe l’EFET Photographie depuis de nombreuses années. 

 

Forte de 50 ans d’expertise, l’EFET Photographie a le plaisir d’être une nouvelle fois invitée pour cet événement prestigieux qui aura lieu du 17 au 19 septembre prochain. Le travail de 5 alumni sera mis à l’honneur, une véritable fierté pour eux et pour l’ensemble de l’équipe pédagogique de l’école.

 

Des alumni talentueuses et engagées

Ingrid Bailleul, Kangrong He, Jihyun Park et Ambre Raimbault, toutes diplômées du Bachelor Photographie promotion 2019, présenteront leurs travaux lors de ce festival. Elles aborderont à travers leurs photographies des thèmes variés tels que le paraître, l'apparence contrôlée, l'identité affirmée, la gestuelle chorégraphiée ou l'évocation affective à travers un lieu de vie.

Cette édition accueillera également les travaux récents d’Alexandra Laffitte, diplômée du Bachelor Photographie promotion 2013 et lauréate du Festival Confrontations Photo 2014.
Dans son projet nommé « Empreintes », elle montrera le visage de plusieurs femmes dissimulé à l'aide de masques, accessoires ou maquillage, en mettant en évidence le corps, une position, une gestuelle, une esthétique…

 

Le Bachelor Photographie, un tremplin vers le monde professionnel

Grâce à l’ensemble des cours suivis au sein du Bachelor Photographie, les étudiants acquièrent une réelle expertise dans le domaine.

Ils développent notamment leur technique en prise de vue argentique et numérique, en traitement d’image, en post production… Autant de compétences essentielles pour devenir un photographe professionnel.

Tout au long de leur cursus, ils sont accompagnés par des professionnels du secteur, qui garantissent l’actualité et l’efficacité des compétences transmises. La mise en avant du travail des alumni de l’EFET Photographie au Festival Confrontations Photo de Gex témoignage à nouveau du niveau d’excellence de leur formation et de la reconnaissance de nos étudiants à la suite de leur cursus.

Définition et concept de la photographie japonaise

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La fascination de nos sociétés pour l’Orient concerne tous les aspects de cette culture : alimentation, mode de vie, habillement, musique et arts. Estampes, poésie et clichés japonais ont toujours fortement influencé les artistes occidentaux. Entre artisanat millénaire et technologies de pointe, le Japon est un pays à part et une source d’inspiration pour de nombreux photographes. En quoi consiste la photographie japonaise, est-il possible de la maîtriser en se formant en France ?

 

Photographie_japonaise

 

La photographie japonaise : qu’est-ce que c’est ?

La filiation entre la photographie japonaise et les estampes est évidente. On y retrouve les mêmes points de vue, les mêmes sujets et la même composition. Ces disciplines partagent un autre point commun : les deux supports sont des multiples. En effet, l’aristocratie japonaise collectionnait les peintures originales quand la majorité de la population préférait l’estampe, qui était imprimée en un grand nombre d’exemplaires.

La photographie se positionne donc comme l’héritière de cette tradition et a été adoptée avec engouement au Japon aux alentours des années 1860. Si elle a fait du chemin depuis, on retrouve dans les codes de la photographie japonaise d’aujourd’hui une forte influence des estampes et des anciens clichés du pays du début du XIXe siècle.

Souvent qualifiée de minimaliste, la photographie japonaise se définit principalement par une composition dominée par une faible profondeur de champ et des arrière-plans épurés. C’est un style qui joue avec la lumière : les sujets sont légèrement sur-exposés, voire délavés face au soleil. Très appréciée, cette manière d’illuminer la composition du cliché a même inspiré un filtre Instagram à succès.

Le sujet est aussi un élément spécifique de la photographie japonaise. Sont très souvent photographiés en gros plan des objets de la vie quotidienne : tasses à thé, animaux domestiques ou assiettes. Là encore l’impact sur les clichés d’Instagram et des réseaux sociaux les plus en vogue est considérable. Choisir de pratiquer ce style de prises de vue, c’est apprendre à révéler l’implicite et à embellir l’ordinaire. En effet, la photographie japonaise est emprunte des différents courants artistiques nippons qui ont toujours su donner à voir l’émotion cachée derrière la banalité d’un sujet ou d’objets de tous les jours.

 

Comment maîtriser les codes de la photographie japonaise ?

Pour reprendre les conventions définissant le style japonais, il faut savoir :

  • Réduire la profondeur de champ
  • Régler ses équipements pour minimiser au maximum la saturation
  • Rajouter du vignetage
  • Jouer sur les couleurs et apposer une dominante froide (bleu ou vert)
  • Surexposer l’image

Savoir maîtriser les techniques de la discipline est une compétence cruciale pour les professionnels. Pour y arriver, le photographe doit suivre une formation technique de haut niveau dans un établissement spécialisé. À ce titre, l’EFET Photographie propose un cursus complet en photographie qui comporte des enseignements pratiques, permettant de maîtriser tous les outils des prises de vue professionnelles.

 

La photographie japonaise peut être pratiquée par tous les photographes formés aux techniques traditionnelles. Il faut en revanche avoir suivi des stages en entreprises réguliers et professionnalisants. C’est en effet l’expérience et la pratique qui conduiront l’étudiant à maîtriser la photographie japonaise.

Comment définir la photographie artistique ?

Photographie

Entre support d’illustration, pratique technique, chimie et art, la photographie est une discipline aux multiples facettes dont la définition n’est pas toujours facile à aborder. Chercher à définir la photographie artistique revient à déterminer ce qu’est l’art. Concept flou et sans limites fixes, c’est une activité humaine qui vise à exprimer les émotions et les réflexions humaines sous toutes ses formes et à propos de tous les sujets. Alors qu’est-ce que la photographie artistique ? Existe-t-il réellement une définition du concept ?

Photographie artistique : la prépondérance du photographe

La photographie artistique peut être considérée comme l’acte d’un technicien qui utilise l’image pour transmettre ses émotions et sa vision de la vie. Dans cette discipline, c’est l’interprétation de l’artiste photographe qui prédomine. À ce titre, le professionnel peut être amené à retoucher ses clichés afin de rendre encore plus perceptibles ses impressions ou ses sentiments.

Les arts sont classifiés en 7 domaines différents, la photographie artistique est associée au cinéma pour former le « 7e art ». Selon certains, elle appartiendrait plutôt à la catégorie des arts visuels (le troisième art), en compagnie de la peinture et du dessin.

Les artistes photographes étant en mesure de questionner le monde, créer des sentiments, faire part de leurs préoccupations, de leurs croyances et de leurs convictions, il n’est plus à démontrer que la photographie a toute sa place au Panthéon des arts.

Une discipline qui nécessite des compétences techniques

Cette première définition du concept de photographie artistique permet d’appréhender la photographie de manière plus générale. Quelle que soit sa discipline de prédilection, l’artiste qui choisit la photographie comme moyen d’expression est nécessairement un fin technicien. En effet, maîtriser un appareil photo professionnel, le jeu des lumières, leur installation et leur utilisation ou encore adopter le bon cadrage et les bons réglages sont des méthodes professionnelles qui s’acquièrent à l’occasion d’une formation spécialisée en photo.

En effet, les photographes se forment au sein d’un établissement spécialisé et de préférence au contact des experts du secteur. C’est la formule pédagogique qu’a choisi d’appliquer l’EFET Photographie, qui propose un parcours complet à travers un Bachelor Photographie en 3 ans, permettant l’obtention d’un titre reconnu par l’Etat de niveau 6.

Les participants à la formation sont invités à réaliser des travaux pratiques tout au long de l’année et à réaliser des périodes de stage en entreprise.

La photographie artistique séduit de nombreux adeptes, particuliers comme professionnels. Le public apprécie cette forme d’art, à la portée de tous, mais néanmoins d’une esthétique et d’une technicité hors du commun.

L'EFET AU SALON DE LA PHOTO

EFET salon Photo

Rendez-vous annuel et incontournable des professionnels et des grands amateurs, le Salon de la Photo propose à la Porte de Versailles un large coup d'œil sur les dernières versions d'appareils de prise de vue et sur le matériel de post production, imprimantes et logiciels. Pour cette foire annuelle commerciale et technique, les marques concurrentes redoublent de séduction envers  leurs visiteurs,  en animant des  démonstrations assorties d'attractions, de préférence animées et photogéniques.

Le Salon de la Photo élargit son audience à la culture photographique par une vingtaine de Grandes Rencontres publiques avec les photographes célèbres,  par le programme plusieurs expositions, comme  la scénographie centrale consacrée cette année au grand photographe allemand Franz Christian Gundlach avec ses « Itinéraires » et  la rétrospective américaine « So Long » de Bernard Plossu, organisée par la Maison européenne de la photographie et par l'événement international des Editors’ Photo Award Zooms Japon/Prix du public Zooms Japon 2018.

EFET salon Photo

Pendant toute la durée du Salon, les professeurs et les étudiants de l'Efet, toujours heureux de retrouver les anciens devenus professionnels, accueillent les candidats aux métiers de l'image pour les conseiller, les orienter et présenter.

 

Efet. Salon de la Photo Porte de Versailles. stand n° 5.1.D 019, du 8 au 12 novembre 2018.

 

EFET salon Photo - Aude Lerin

Crédit Photo : Aude LERIN