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Autour de Françoise Huguier Conférence

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Projection-débat en présence de l’artiste, et d’Hervé Le Goff, journaliste et critique de photographie.

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La photographe Françoise Huguier explore Séoul et la société sud-coréenne depuis les années 80. Sensible aux rencontres comme au paysage urbain, elle organise sa vision de la ville en observant les différentes générations, qui évoluent entre hypermodernité et attachement aux traditions. Françoise Huguier a présidé en 2014 le jury de fin d'Etudes Photo à l'Efet.

 

Cité de l'architecture & du patrimoine
Palais de Chaillot – Auditorium
Accès par le 7, avenue Albert de Mun, Paris 16e
(M°Iéna ou Trocadéro)

Entrée libre

ETHEL BUISSON « Grand-père, comment t’appelles-tu ? »

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Ignorant jusqu'au prénom de l'homme qu'était son grand père dans les années 1940, Ethel Buisson a reconstitué l'itinéraire qui, de Varsovie et de Paris devait le conduire à Auschwitz et à la mort. Ce long cheminement entrepris 70 ans après la fin de la deuxième Guerre mondiale, à partir de l'acte de décès dressé le 15 septembre 1942 par l'administration du camp d'extermination, laisse un ensemble constitué de documents d'époques, de deux photographies familiales, de photographies actuelles des lieux, d'enregistrements sonores. Né d'une quête lucide et légitime de vérité, ce travail mené depuis quatre ans à travers l'Europe et dans les fonds d'archives verse sa contribution à la connaissance de la page la plus sombre de l'Histoire du 20e siècle. Ethel Buisson qui termine actualites une formation en photographie numérique et en infographie à l'Efet est titulaire d’un master d’architecture de l’université de Princeton et pratique la photographie d’architecture. Montée sur la propre scénographie de l'auteur, l'exposition « Grand-père, comment t’appelles-tu ? » se tient du 14 avril au 13 mai aux Salons Aguado, à la Maire du 9e arrondissement, 6 rue Drouot, Paris 9e.

CECILIA NILSDOTTER Des portraits qui murmurent

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Cette exposition regroupe les travaux de six photographes chacun traitant du portrait de manière singulière.

Ses portraits d'enfants lui avaient valu l'an dernier de figurer au palmarès du Prix Canson. Cecilia Nilsdotter, actualites en Troisième année Photo à l'EFET expose aujourd'hui sa série  » Ressemblance Intime », portraits de fillettes entre lesquelles peuvent se glisser ses propres enfants. En réalité, ces visages approchés dans l'éclairage rare recherchés par les maîtres de la peinture classique et baroque, donnent une représentation universelle d'une enfance en apparence plutôt sage et douce mais aussi gardienne de premiers secrets.
• Des portraits qui murmurent. Œuvres de Diane Vo Ngoc, Julie Poncet, Cecilia Nilsdotter, Martine Marras, Sandrine Balade et Joël Cubas. Galerie Nast à Paris, 10 Rue d’Alger, Paris 1er

Pour plus d'informations, visitez le site de compétence photo consacré à l'exposition

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© Cecila Nielsdotter

ALEXANDRA LAFFITTE Lauréate au prix Canson

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Troisième place des prestigieux Canson Awards ouverts à toutes les écoles d'art d'Europe

Diplômée de la promotion 2015 photo Efet, Alexandra Laffitte continue de prendre son envol dans l'univers des arts plastiques avec une nouvelle distinction : ses portraits d'hommes revus au mystérieux maquillage noir qui a marqué sa récente production lui ont valu d'accéder à la troisième place des prestigieux Canson Awards ouverts à toutes les écoles d'art d'Europe. Entourée des ses proches et des ses professeurs, Alexandra a reçu hier son Trophée de verre. Ses œuvres vous attendent jusqu'au 10 avril au désormais mythique espace de création « Le 59 », 59 rue de Rivoli, Paris 1er.

ARLES 2016 : Concours Voies Off, tout de suite !

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Candidatures au PRIX VOIES OFF 2016/Les émergences photographiques à Arles

Cela a beau être off, l'enjeu est plutôt en plein dans le mille d'une communication brillante, avec à la clef un tremplin et un bout de fortune. Il reste exactement une toute petite semaine pour poser sa candidatures au PRIX VOIES OFF 2016/Les émergences photographiques à Arles et se mettre dans la course pour gagner le Prix Voies Off :de 5 000 €, et/ou le Prix Révélation SAIF de 2 500 € et/ou le Prix la critique . org avec la publication en ligne d'un portfolio. C'est jusqu'à quand les inscriptions ? Jusqu' 20 mars 2016. Où ? Mais sur www.voies-off.com

© Photo : Michel Le Belhomme.

PORTES OUVERTES DES 11 et 12 MARS/Contact pris

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Merci aux visiteurs de la dernière JPO, pour leur curiosité et leurs pertinentes interrogations sur les professions de l'image

Merci aux visiteurs de la dernière JPO, pour leur curiosité et leurs pertinentes interrogations sur les professions de l'image. Ateliers numérique et argentique, studio de prises de vues mode et portrait, interventions de retouches sur photoshop, c'était déjà un premier pied posé dans un futur métier. A bientôt pour les portes ouvertes de juin, avec le palmarès et l'exposition de nos diplômés 2016 !

ANDREA EICHENBERGER (Promotion Photo 2009-2010) MILLE BRIQUES

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Les Mille Briques, ce n'est pas le titre d'un roman policier relatant un fructueux hold-up, c'est tout simplement un recueil de textes et de photographies sur une prison, toute construite en briques, juste avant la fermeture définitive de ses portes. Les textes sont les prises de paroles des derniers détenus de la Maison d'arrêt et de justice de Beauvais, et les images sont signées Andrea Eichenberger à la faveur du travail mené dans le cadre des résidences.
Forme intéressante de mécénat, la résidence d'artiste comprend l'hébergement dans la région d'accueil, avec la contrepartie d'y réaliser un travail personnel, destiné à être exposé et publié la plupart du temps sous la forme d'un livre. Ce livre, publié chez Diaphane éditions est actualites en projet, en mode de souscription : en le commandant sur www.diaphane-editions.com, le futur lecteur accélère sa fabrication, avec le bénéfice de payer son exemplaire moins cher, en l'occurrence 25 € au lieu de 30 €. Les photos sont belles, les textes poignants, l'enjeu en vaut la peine.

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© Diaphane éditions- Andrea Eichenberger

FRANÇOIS DE RIVOYRE (promo 2015)en exRDA et sur le WEB

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Il avait séduit le jury de son diplôme par sa manière originale de visiter Paris et sa banlieue par un jeu de miroirs à peine décelables, et sur le mode mineur des marques au sol ou des figures aléatoires offertes par les déambulations de piétons. Installé à Halle, non loin de Leipzig, au cœur de l'ex-Allemagne de l'Est, François de Rivoyre poursuit ses recherches personnelles sur d'autres dimensions, explorant de nouvelles subtilités nées d'un regard de myope sur ce que la ville peut offrir sans manières, aux abords d'un chantier, au détour d'un édifice, à l'écart d'une vitrine. Après avoir reçu un début de consécration locale avec une récente exposition personnelle de 26 tirages 50x70cm sur un étage entier du Ratshof de Halle, le travail de François de Rivoyre est à l'honneur sur le site de l'œil de la Photographie. Et là pas besoin de franchir le Rhin, il suffit de cliquer sur ce lien
Et pour voir ou revoir l'exposition de Halle, « A photographic journey by François de Rivoyre » c'est ici

MINNSEO KIM Unseen Paris

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Le jeune Coréen du Sud a quitté Séoul pour venir à Paris il y a deux ans ; il y a appris le français, il y étudie actualites la photographie en première année à l'Efet. Si ses images ont en commun de sacrifier à la technologie argentique, elles traduisent d'abord ses impressions de promeneur amoureux des architectures, de témoin des jeux de la lumière et de la nuit. Passionné par la street photography, Minnseo Kim contrôle cependant son approche des quidams qui passent devant son objectif, capturant leurs silhouettes fugitives, contournant la tentation de l'anecdote. Tout au contraire, sa vision résolument subjective se rapproche des artistes qui donnent de la Ville une image singulière, interprétée, voire dénaturée, comme ce dialogue de sourds entre la façade intérieure du Palais Royal et les colonnes de Daniel Buren, comme la présence nocturne et stellaire de la Pyramide de Ieoh Ming Pei au Louvre ou encore ces Champs Elysées vibrant de leurs éclairs d'électrocardiogramme.

Hervé Le Goff

YURINA NIIHARA3e année photo expose dans le Marais

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Le mois de la célébrité pour Yurina

C'est vraiment le mois de la célébrité pour Yurina : après sa brillante exposition au centre culturel du Japon, elle se joint à d'autres jeunes artistes contemporains pour montrer dans une galerie du Marais ses photographies de retrouvailles avec son pays. Ça ne dure que jusqu'au 20 février, à voir donc sans hésiter.
Lost Last, Galerie Joseph, 4-6, rue de Braque, Paris 3e.
Yurina Niahara à son vernissage, par Gilar Farjah.

C'est le propre du voyageur que de redécouvrir son pays à son retour et le vieil Ulysse en faisait jadis l'expérience. Yurina Niihara a vécu la même émotion après un long séjour à Paris où l'avaient appelée ses études en photographie. À un âge où deux années comptent, plus mature, devenue francophone, rompue aux habitudes parisiennes et formée à l'image, Yurina visite son pays natal en touriste occidentale avec des sensations presqu'inédites. Japon devenu étrange, objet d'étude d'une étudiante de l'image et de la figuration sociologique, son « Retour au pays » est présenté en exposition personnelle au prestigieux espace Kunitoraya de la Maison de la culture du Japon.