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Des alumnis D’EFET Photographie aux Rencontres d'Arles

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Des alumni d’EFET Photographie ont participé aux Rencontres d’Arles, événement majeur de la photographie. Ils ont eu l’occasion d’exposer et vendre leurs créations. Cela s’est déroulé l’été dernier, l’équipe de France 3 a immortalisé cet échangeRetour sur ce festival de photographie. 

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 © Efet Photographie

Les Rencontres d’Arles sont un festival annuel de photographie, se déroulant à Arles de juillet à septembre. Le photographe arlésien Lucien Clergue, l’écrivain Michel Tournier et l’historien Jean‑Maurice Rouquette ont créé cet événement pour la première fois en 1970. Aujourd’hui, il s’agit d’un festival de renom, connu au niveau international. Il connaît un grand succès depuis le début des années 2000, période où la photographie a connu un réel essorDurant les Rencontres, le public est invité à découvrir une quarantaine d’expositions présentes un peu partout dans la ville. Il y a aussi des stages encadrés par de véritables professionnels qui y sont proposés, ainsi, le public peut participer et en apprendre plus sur cet art.

 

Le lieu d’exposition idéal pour les futurs professionnels  

Une fois diplômés, le but des étudiants est d’apporter un maximum de visibilité sur leurs œuvres afin de retenir l’attention de professionnels. Il n’y a pas meilleur endroit que les expositions d’Arles pour ce faire. Une vingtaine d’alumni d’EFET Photographie Paris ont eu la chance d’être sélectionnés pour participer au festival : Ce festival pour nous en tant que promo, c’est l’occasion de montrer nos travaux à des professionnels, rentrer dans le monde du travail, de la photo. Et aussi vendre nos tirages surtout parce que toutes les œuvres que vous voyez ici sont disponibles pour l’achat ” dit une des anciennes étudiantes.  

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© Efet Photographie

Le Bachelor de l’EFET Photographie, une formation pointue et reconnue par les professionnels du secteur 

Si ces alumnis ont pu exposer  leurs œuvres, c’est grâce à la qualité des réalisations qu’ils ont pu produire au cours de leurs études. L’EFET Photographie est une grande école ayant 50 ans d’expertise. Elle propose un Bachelor Photographie accessible dès le niveau Bac, formant les étudiants avec des enseignements de qualité. Il s’agit d’une formation reconnue par les professionnels du secteur. Durant cette formation de 3 ans, les étudiants abordent un large éventail de compétences techniques et artistiques nécessaires pour un photographe professionnel. Ils acquièrent à l’issue du cursus, une parfaite maitrise de la technique et de l’esthétique. Les trois années sont complétées par des stages leur permettant de mettre en pratique leurs connaissancesA la fin de la 3ème année, les futurs diplômés auront à réaliser un book, un site web ainsi qu’une exposition. Certains participent même à des festivals de renom tels que les Rencontres d’Arles. 

Photo d’architecture, quelques règles essentielles

Il y a mille et une façons d’aborder la photographie d’architecture, suivant que l’on répond à une commande ou que l’on s’adonne à une démarche plus artistique et moins descriptive. Certaines règles restent néanmoins primordiales pour traiter son sujet avec méthode.

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© Pixabay

 

La photographie d’architecture est une discipline très ancienne. Les premières photos de l’histoire ont été des photos de bâtiment quand les premières grandes commandes publiques, telle que la Mission héliographique engagée en 1851, portaient sur l’inventaire des bâtiments de France. Essentielle comme archive du patrimoine, la photo d’architecture est également un formidable terrain de jeu pour les photographes qui peuvent jouer sur les lignes directrices, les formes et les couleurs pour composer des images parfois presque abstraites. Avant d’aborder son sujet, la première chose à considérer est donc la finalité des images.

 

 

L’environnement

Si vous répondez à la commande d’un architecte ou d’un cabinet qui souhaite conserver une archive de ses réalisations, vous devrez certainement photographier le bâtiment dans son ensemble. Pensez donc au point de vue que vous pourrez aborder, à l’environnement et à la possibilité que vous aurez de prendre ou non du recul pour figurer votre sujet dans son contexte.

Pensez également aux objectifs qui vous serons utiles. La tentation d’opter pour une courte focale est grande, mais si vous êtes trop proche, vous pourriez accentuer les lignes du bâtiment et ne pas refléter l’effet voulu par son concepteur. Attention également au phénomène de distorsion dont souffrent certains objectifs grand-angle qui pourrait entraîner des déformations sur les lignes droites. Enfin, songez que si vous êtes proche, vous devrez sans doute adopter un point de vue en contre-plongée qui va déformer les perspectives. Les objectifs à décentrement sont les meilleurs alliés des photographes d’architecture pour éradiquer ce défaut. Si vous n’en possédez pas, cadrez large pour qu’après le rétablissement des perspectives dans votre logiciel, votre image présente encore le bâtiment dans son entièreté.

 

 

La lumière

Elle est essentielle dans le rendu des images et peut complètement modifier les lignes et les volumes d’un bâtiment. Avant votre séance de prise de vue, pensez à faire un repérage, en vous rendant sur place ou en analysant l’exposition sur le bâtiment avec Google Earth par exemple. Évitez le moment où il sera à contre-jour. Les lumières rasantes du soir et du matin peuvent en revanche en souligner les lignes et les matières tandis que la lumière crue de la mi-journée peut produire des ombres graphiques intéressantes si vous disposez d’une certaine liberté de création. Pensez donc à choisir un jour où la météo est favorable, prévoyez suffisamment de temps sur place pour profiter de différentes lumières ou prévoyez plusieurs jours de prise de vue pour saisir différentes conditions de lumière.

 

 

Pensez aux détails

Outre les formes globales du bâtiment, l’architecte attendra certainement de vous des photos qui décrivent de jeux de volumes et de matière. Car chacun de ces éléments a été pensé avec soin et participe de son savoir-faire. Variez alors les points de vue. Si c’est possible, entrez à l’intérieur du bâtiment, levez la tête ou au contraire optez pour des plans en forte contre-plongée pour faire ressortir les éléments graphiques d’une charpente, d’un escalier, de façades qui se répondent. Le plus important est alors de tourner autour de votre sujet pour en déceler les moindres recoins.

La photographie au drone pour des vues du ciel se répand également de plus en plus en architecture. Songez enfin que la photographie d’architecture se doit d’être un minimum descriptive. Favorisez donc les grandes profondeur de champ en fermant le diaphragme de l’objectif pour un maximum de netteté. Un trépied vous sera utile pour régler une basse sensibilité tout en conservant une bonne netteté, même si votre temps de pose est long.

Pensez également que de très longs temps de pose permettront que si du public circule dans le bâtiment, il apparaisse flou, donc non reconnaissable mais qu’il apporte de la vie et du dynamisme. Faites différentes tentatives et pensez que la variété des cadrages, des ambiances et des points de vue assureront la réussite de votre reportage.

 

 

L’EFET Photographie propose une formation professionnelle et technique en photographie qui répond aux nouvelles exigences du métier telles que les photographies d'architecture.

De l’incidence de la taille du capteur

 Il ne vous a sans doute pas échappé que les appareils photo que l’on trouve sur le marché ne sont pas tous équipés de capteurs de mêmes tailles. Quelles incidences ces dimensions ont-elles en pratique sur le matériel et sur la qualité des images ?

 

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© Pixabay

 

 

 

Outre leur type de visée, optique – TTL ou télémétrique – ou électronique, et leur faculté à changer d’objectif ou non, les différents appareils du marché se distinguent par la taille de leur capteur. Les plus petits n’excèdent pas la taille d’un ongle : 4,54 mm x 3,42 mm pour les capteurs Type 1/3,2″, 6,17 mm x 4,55 mm pour les Type 1/2,3″ ou encore 13,2 mm x 8,8 mm pour les capteurs Type 1″. On les trouve dans les smartphones et dans certains appareils compacts et bridge. Au dessus se trouvent les capteurs 4/3 de 17,3 x 13 mm exploités par Panasonic et OM System, anciennement Olympus, dans leurs appareils photo hybride de la gamme micro 4/3, puis les capteurs APS-C qui mesurent 22,3 × 14,9 mm dans les appareils Canon et 23,6 mm x 15,7 mm pour les autres marques comme Fujifilm, Leica, Nikon, Sony ou Pentax. Considérés comme les capteurs les plus performants, les 24×36 mm reprennent les dimensions bien connues des images argentiques en « petit format » et sont intégrés aux appareils des marques Canon, Leica, Nikon, Panasonic ou encore Sony. Ce ne sont pas les plus grand capteurs que l’on trouve sur le marché. Au dessus encore, se situent des modèles qualifiés de « moyen-format » en référence aux systèmes argentiques dont les dimensions sont de 43,8×32,9 mm. On trouve aujourd’hui ces capteurs dans des appareils des marques Fujifilm, Hasselblad ou encore Pentax.

 

 

Encombrement et champ de couverture

La première conséquence à ces différentes tailles est celle de l’encombrement des appareils et des objectifs. Plus le capteur est grand, plus l’appareil l’est aussi, tout comme les objectifs qui pour couvrir une plus grande taille de capteur doivent comporter de plus grandes lentilles. Ils sont donc eux aussi plus lourds et encombrants.

L’autre conséquence réside dans le champ réellement couvert par un objectif d’une focale donnée.

Car plus le capteur utilisé est petit, plus il va opérer un recadrage dans l’image et réduire le champ couvert par un objectif. C’est pourquoi dès que l’on utilise des systèmes équipés de capteurs dont la taille n’est pas 24x36mm, on a pris l’habitude de parler de leur focale équivalente

Les capteurs APS-C et les systèmes micro 4/3 sont donc appréciés par les photographes de sport ou d’animalier qui profitent de ce facteur de correction de focale d’1,5x, 1,6x ou 2x suivant les capteurs pour cadrer plus serré. Le même phénomène donne aussi un avantage à ces plus petits capteurs en photomacrographie.

 

 

La qualité d’image

À définition – la taille en pixels des images – équivalente, les grands capteurs disposent de cellules photosensibles – les photodiodes – plus grandes, ce qui a une incidence positive sur la qualité des images. Car des photodiodes plus grandes reçoivent plus de lumière. Ces capteurs affichent donc une meilleure dynamique d’enregistrement, ils saturent moins vite lorsqu’ils reçoivent une grande quantité de lumière, et une meilleure qualité d’image en haute sensibilité. Cette affirmation demande néanmoins d’être nuancée par deux remarques : elle vaut à définition d’image égale, car un capteur 24×36 de 61 Mpx possède des photodiodes de même taille que celles d’un capteur APS-C de 24 Mpx, quand la technologie du capteur a également une incidence directe sur sa qualité en haute sensibilité. Les capteurs dits « rétroéclairés », BSI en anglais, sont meilleurs en haute sensibilité que les Cmos traditionnels. Enfin, notez que la taille du capteur a également une incidence sur la profondeur de champ. Plus le capteur est grand, plus il est aisé d’obtenir de faibles profondeurs de champ et donc des bokeh intenses.

 

 

Grâce au programme bachelor de l'EFET Photographie, les étudiants apprendront toutes les méthodes et tous les secrets d'un appareil photo. En effet l'école parisienne permet aux étudiants de développer un éventail de compétences techniques et artistiques indispensables à l’exercice du métier.

Quelles sont les qualités requises pour être un bon photographe ?

Visuel - Qualités photographe

Le métier de photographe est à cheval entre la vision de l’artiste et le travail précis du technicien. Pour faire carrière, il faut avoir des aptitudes innées et les faire évoluer pour transformer son talent brut en savoir-faire technique. Alors quelles sont les sept qualités d’un bon photographe ?

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 © Pexels

 

Quelles sont les qualités naturelles qui font un bon photographe ?

Un bon photographe fait preuve de qualités naturelles, qui tiennent à son âme d’artiste et à sa passion.

  • Il a le sens de l’observation. Avoir l’œil, c’est finalement prendre un cliché d’un sujet ordinaire et de le transformer, par son sens de la prise de vue, en une image exceptionnelle.
  • C’est un artiste obstiné. Malgré les ratés et les clichés qui n’atteignent pas ses attentes, c’est un artiste persévérant. L’opiniâtreté est un de ses atouts essentiels, car elle lui permettra d’évoluer et d’améliorer ses photographies.
  • C’est une personne qui fait preuve de réserve. Il est habité d’une certaine pudeur, attitude qui lui permet de conserver l’authenticité de ses sujets. Cela passe par son comportement, mais aussi par le choix du matériel adapté.
  • Il a un caractère calme et endurant. La patience est une qualité primordiale pour un bon travail de photographe. Attendre les « Golden Hours » du soleil ou la bonne pause du sujet peut être long. Prendre son temps lui permet aussi de poser un juste regard sur son travail et ainsi d’améliorer sa technique en effectuant des réglages minutieux.
  • Un bon photographe est original. C’est un artiste qui pense en dehors des sentiers battus, son anti-conformisme naturel se transcrit dans ses clichés.

 

Travailler ses qualités et se former pour devenir un bon photographe

Pour produire un travail de qualité, digne d’un bon photographe professionnel, il faut travailler son talent pour le transformer en compétences techniques.

  • Il sait s’entourer. Il est nécessaire de prendre conscience de ses points forts et faibles pour les travailler, mais pas au prix de sa motivation. Un bon photographe saura s’entourer d’autres professionnels de l’image au regard critique et motivant. C’est à l’occasion de sa formation qu’il rencontre ces personnes.
  • Il travaille sa technique et son organisation. Sur le plan professionnel, cette qualité s’acquiert grâce à l’expérience.

Pour faire carrière en tant que photographe, il est donc demandé d’avoir un certain nombre de qualités. Fort heureusement chacune d’entre elles peut se travailler avec la formation adéquate. C’est pour cela qu’il est fortement préconisé aux étudiants souhaitant devenir photographe de se tourner vers une école spécialisée, comme l’EFET Photographie.

 

Dans l’univers de la photographie, tout n’est pas qu’une question de don. Même le plus talentueux des artistes travaille ses capacités et un bon photographe sait qu’il lui faut travailler ses qualités au niveau technique. S’améliorer demande donc d’avoir conscience de ses aptitudes ainsi que d’acquérir un savoir-faire technique.

Qu'est-ce que la photographie en accéléré ?

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La photographie en accéléré, ou Timelapse, est une technique qui permet de réaliser une vidéo en accéléré à partir d’une multitude de clichés. Elle offre une nouvelle perspective sur une situation en la décrivant visuellement beaucoup plus rapide qu’en réalité. Très à la mode, en quoi consiste cette méthode de photographie professionnelle et comment s’y former ?

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 © Pexels

 

Pourquoi choisir la photographie en accéléré ?

Avoir recours à la photographie en accéléré, c’est créer une vidéo animée depuis son appareil photo en faisant se succéder rapidement un très grand nombre de clichés. Le principe s’inspire de la chronophotographie : le fait de capturer une très grande quantité de photographies à des intervalles de temps réguliers.

De nos jours appelée Timelapse, la photographie en accéléré est montée au moyen de logiciels informatiques de pointe. Les clichés (quelques dizaines de milliers) sont assemblés à une cadence de 24 images par seconde sur une interface de montage vidéo.

Les intérêts de la photographie en accéléré sont multiples et nombreux :

  • Elle permet d’admirer les mouvements lents du paysage : le passage des nuages, les changements de lumière, le défilement des étoiles, les levers et couchers de soleil, etc.
  • Elle offre de voir les mouvements de la nature : l’éclosion d’une fleur, la pousse d’une plante, le pourrissement des fruits, la fonte de la glace.
  • En milieu urbain, elle met en relief le déplacement des personnes ou des voitures et offre des effets visuels inédits grâce aux diverses sources lumineuses (phares des véhicules, enseignes éclairées, etc.).

 

 

Comment faire de la photographie en accéléré ?

La photographie en accéléré nécessite d’utiliser son appareil photo en mode manuel (à condition qu’il y ait peu de variations de lumière à l’endroit du shooting). En effet, pour obtenir un Timelapse, il est essentiel que l’exposition varie peu d’une photo à l’autre.

En revanche, afin de capturer des photographies en accéléré avec des conditions de lumières qui changent (comme c’est le cas d’un coucher de soleil par exemple), il faut paramétrer son équipement en mode priorité ouverture. Sachez que de nos jours, il est tout à fait possible de réaliser d’excellentes photographies en accéléré au moyen d’un smartphone.

Dans tous les cas de figure, il faudra reprendre les clichés en post-production afin d’éviter les erreurs de scintillement ou de luminosité. C’est aussi un passage obligé pour monter les photographies en vidéo. Généralement, les photographes utilisent les interfaces Première Pro ou Final Cut Pro.

La photographie en accéléré requiert donc de bien maîtriser son équipement photographique, ainsi que les logiciels professionnels de retouche numérique. C’est à l’occasion d’une formation technique de haut niveau que s’obtiennent les compétences nécessaires pour maîtriser ces deux éléments. Les photographes professionnels suivent en effet un cursus technique au sein d'un établissement spécialisé, comme l’EFET Photographie.

 

La photographie en accéléré est une méthode de mise en forme d’une suite de clichés. Très technique, elle requiert un grand nombre de connaissances et de compétences en informatique et en photographie.

EFET Photographie : Le métier de photographe de tournage

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Le métier de photographe de tournage est très spécifique. La mission de ces professionnels ? Capturer des images lors de la production de films, de séries télévisées ou même de publicités. Gros plan sur un métier de l’image incontournable 

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© Pexels

 

 

Quel est le rôle d’un photographe de tournage ? 

Le rôle d’un photographe de tournage est donc de capturer des images qui racontent une histoire, un moment. En d’autres termes de s’emparer de l’atmosphère du lieu de tournage et fournir des images qui pourront être utilisées pour mettre en avant le film, la série ou la publicité. 

Le travail de ces photographes commence avant même que le tournage ne débute. Bien souvent, ils travaillent en collaboration directe avec le réalisateur, le chef opérateur et le producteur afin de mieux comprendre la vision de la production. Ainsi, après cette analyse, le photographe doit être en mesure de saisir le cœur de l'histoire et de la retranscrire à travers ses photographies. 

 

Ensuite, une fois le tournage commencé, le photographe travaille en étroite collaboration avec l'équipe de tournage. Il peut aussi bien être amené à travailler en même temps que l'équipe de tournage qu’à travailler en dehors des heures de tournage pour capturer des instants des coulisses par exemple, ou d’un plateau déserté par les équipes. Aussi, le photographe doit être capable de se faufiler discrètement entre les membres de l'équipe de tournage afin de saisir les instants opportuns qui reflètent parfaitement l'ambiance et l'environnement dans lequel évolue les acteurs. 

 

Pour exercer correctement leur métier, les photographes de tournage doivent également être capables de travailler rapidement et avoir l’esprit vif. Ils doivent avoir la capacité de capturer des images en quelques secondes pour ne pas manquer des moments importants du tournage. Dans un même temps, ils sont également tenus d’être en mesure de travailler dans des conditions parfois difficiles, par exemple en extérieur même avec des conditions météorologiques difficiles. 

 

Une fois le tournage terminé, le photographe doit encore sélectionner les meilleurs clichés et les retoucher. Les photographies qu’il aura choisies seront ensuite utilisées pour la promotion du film, pour des magazines spécialisés, des affiches ou pour le site web de la production. 

Il faut savoir, que le métier de photographe de tournage peut être assez stressant, tout en étant gratifiant et très satisfaisant. Ces professionnels ont lopportunité de travailler sur de nombreux projets intéressants, très divers. Au-delà de capturer les instants magiques d’un tournage, ils ont également l’opportunité de rencontrer des grandes personnalitédu monde de l’audiovisuel. Qui plus est, ils voyagent régulièrement dans le monde entier et découvrent des endroits uniques.  

 

 

 

Comment devenir photographe de tournage ? 

Pour devenir photographe de tournage, il est important de développer une connaissance solide de la photographie. Une formation en photographie est donc primordiale pour acquérir les différentes compétences indispensables pour exercer ce métier. Pour être un bon photographe de tournage, la patience, la créativité, la rapidité et la capacité d'adaptation sont des qualités essentielles pour réussir à se faire un nom dans le milieu de la photographie « cinématographique ». 

Il est également intéressant pour les photographes de tournage d’avoir des connaissances sur ce milieu, afin de pouvoir prendre les meilleurs clichés en jouant sur la lumière, les points de vue, les angles, mais aussi de bien connaître l’univers du réalisateur afin d’avoir une continuité entre la DA du film et les photos prises.  

 

À l’EFET Photographie, chaque facette du métier de photographe est abordée avec les étudiants. Avec son studio photo professionnel et ses excursions photographiques immersives tout au long de la formation, les futurs photographes seront prêts à aborder n’importe quelle situation 

À quoi sert la balance des blancs ?

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Le réglage de balance des blancs, disponible sur tous les appareils photo, modifie la colorimétrie des images. Il permet surtout de neutraliser la dominante colorée d’une source de lumière. Mais qu’est-ce que ça signifie ?

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© creative commons

 

 

Avant d’aborder le fonctionnement de la balance des blancs, il est important de comprendre ce qu’est la température de couleur d’une source de lumière. Elle s’exprime en Kelvin, l’unité de base du système international de température thermodynamique. Comme elle est une mesure absolue, elle n’est jamais précédée du mot degré. Cette température de couleur indique à quelle valeur il faut chauffer un corps noir – corps idéal qui absorbe tous les rayonnements qui l’atteignent et les transforme en chaleur – pour qu’il émette une lumière de même couleur que la source en question. Aux plus basses températures, 2000 K à 3000 K, la lumière est composée d’environ dix fois plus de radiations rouges que bleues. Aux alentours de 5500 K, ces proportions sont équivalentes et à 15000 K, il y a trois fois plus de bleu que de rouge.

 

 

Ce que l’on qualifie de lumière du jour est une lumière dont la température de couleur atteint 5500 K. Mais en vérité, la lumière du jour, celle du soleil donc, a une température de couleur qui varie fortement en fonction de la météo. Elle peut descendre à 4000 K au lever et au coucher du soleil et dépasser 7000 K par temps couvert. Les sources de lumière artificielle varient quant à elles de 2800 K à 3000 K pour les sources à incandescence type halogènes, fortement rouges-jaunes, à 5500 K voire 6000 K pour les flashs électroniques. Attention alors aux appellations. Car ce que l’on qualifie de source « chaude » correspond aux faibles températures de couleur, celles aux tonalités jaune-rouge décrites comme chaudes en peinture quand les températures de couleur élevées correspondent aux sources blanches et même bleues, tonalités qualifiées de froides en peinture.

 

 

 

La balance des blancs

Parce que notre œil s’adapte en permanence aux conditions de lumière qui nous entourent, nous ne percevons pas précisément les dominantes colorées des différentes sources. Nous sommes habitués à ce que les sources domestiques aient une dominante chaude, mais nous ne percevons absolument pas à quel point elles sont orangées tandis que les ampoules qualifiées de « blanc neutre » sur leur emballage nous paraissent froides et ont en réalité une température de couleur de 4000K et donc une dominante jaune. Pour éviter les trop fortes dominantes, car les appareils ne s’adaptent pas comme notre œil, il est donc possible d’agir sur le réglage de balance des blancs. Ce dernier consiste à définir une valeur de température de couleur dont on souhaite neutraliser la dominante.

Tous les appareils proposent des préréglages, Tungstène correspondant à une température de couleur de 3200K, Flash à 5500K, Tube fluorescent à 4000K, Ombre à 7000K, Lumière du jour à 5200K par exemple. Ils permettent également de régler précisément une valeur en Kelvin que l’on souhaite neutraliser. Si la balance des blancs est réglée sur 5000K, une source de lumière tungstène apparaîtra très jaune-rouge, plus que ce que notre œil perçoit. Cette dominante sera donc très disgracieuse. Le réglage tungstène de la balance des blancs fera paraître cette lumière parfaitement blanche mais la lumière du jour sera alors très bleue. Le réglage de balance des blancs doit donc être choisi en fonction de chaque image et de la tonalité colorée que l’on souhaite lui donner.

 

 

 

La teinte

À ce réglage en Kelvin s’ajoute un réglage de teinte qui vient compenser la présence dans certaines sources de lumière de pics d’émission dans des domaines du spectre non pris en compte par la température de couleur. Il agit donc sur les teintes vert-magenta que l’on trouve souvent dans les lumières fluorescentes. Enfin, sachez que la grande latitude de correction des fichiers Raw permet d’ajuster ce réglage de balance des blancs en postproduction sans perte de qualité sur les images. Lorsqu’on photographie en Raw, on peut donc choisir d’utiliser un réglage automatique de la balance des blancs, que l’on ajustera ensuite en postproduction avec un logiciel de traitement d’image.

 

 

 

L’EFET Photographie propose un enseignement technique et moderne, afin de former aux mieux les étudiants, notamment dans le cadre d’un Bachelor Photographie en 3 ans.

Dorothea Lange : parcours d’une photographe incontournable

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Dorothea Lange est une photographe américaine célèbre pour ses images emblématiques de la Grande Dépression et de la migration des travailleurs aux États-Unis dans les années 1930. 

 

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© Pexels

 

Présentation de la photographe Dorothea Lange 

Née le 26 mai 1895 à Hoboken, dans le New Jersey, Dorothea Lange a grandi à New York. Concernant son cursus scolaire, elle a étudié la photographie à l'école de Columbia. C’est aussi là qu’elle a commencé sa carrière en tant que portraitiste. 

Peu de temps après avoir assisté à une conférence du photographe Clarence H. White, la jeune photographe change de domaine de spécialisationpour s’orienter vers la photographie documentaire.C’est ainsi qu’elle a travaillé pour des magazines tels que Vanity Fair et Life. Par la suite, et grâce à son ascension fulgurante, Dorothearéalisera des photographies pour le gouvernement américain. 

 

Néanmoins, c’est un tout autre projet qui va la propulser au rang de photographe iconique. Ses réalisations pour l'administration du New Deal ont fait de Lange une figure emblématique de la photographie documentaire. 

En 1935 la Farm Security Administration a même fait appel à elle, pour illustrer et documenter la vie des travailleurs migrants en Californie. De cette façon, Dorothea a pu parcourir les États-Unis d’Amérique en réalisant des clichés avec pour sujet les centaines de personnes qui ont été touchés par la Grande Dépression et la sécheresse. Parmi ses photoscultes,on retrouve« Migrant Mother », qui montre une mère pauvre avec ses enfants, devenue un symbole de cetteépoque. 

 

La force des travaux de Dorothea Lange 

La force des photographies de Dorothea Lange réside dans sa capacité à capter l'émotion et la dignité des personnes qu’elle photographie. Des qualités recherchées chez les photographes. C’est grâce à ses années d’expérience en photographie qu’elle a pu souvent photographier des visages si expressifs. À travers ses clichés forts, la photographe a su révéler l’intensité et l’impact physique de la vierudedes travailleurs migrants. Les visages marqués, les rides et les cicatrices,témoignant de la douleur de ces derniers, ont marqué le monde. Les conditions de vie difficiles, comme les campements de fortune et les travailleurs épuisés, sont autant de photographies qui ont sensibilisé le monde à son talent. 

Par plaisir et pour ses projets personnels, Dorothea Lange a aussi réalisé des images marquantes des communautés japonaises et américaines qui ont été internées pendant la Seconde Guerre mondiale. 

Au-delà de son travail photographique, Dorothea Lange a également été une militanteengagée pour la justice sociale. La photographe a utilisé son artcomme un moyen de sensibiliser le public à la pauvreté et à l'injustice. Elle a également été très active dans la lutte pour les droits civils et a soutenu le mouvement des droits des femmes. 

 

Dorothea Lange est décédée le 11 octobre 1965 à l’âge de 70 ans. Ce qu’elle laisse en héritage,en tant que photographe documentaire et en tant que militante pour la justice sociale, perdure encore de nos jours. Ses images continuent de fasciner et d'inspirer des générationsd’artisteset sa contribution à la photographie américaine est considérable. 

 

L’EFET Photographie est fière de mettre en avant, auprès de ses étudiants,les figuresmarquantes de la photographie. Avec son Bachelor Photographie, l’école offre une formation complète et professionnalisante, en s’inspirant notamment des grands noms de cet art 

Quels accessoires pour la macro ?

La macro, ou plutôt la photomacrographie, consiste à photographier des sujets de petites tailles pour en montrer les fins détails. Cette discipline requiert un matériel spécifique, qui peut consister en des objectifs compatibles ou des accessoires dédiés.

 

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© Pexels

 

 

Pour qu’elle soit qualifiée de macro, une photographie doit présenter un rapport de grandissement supérieur ou égal à 1. Ce qui signifie qu’à partir d’un sujet d’une taille donnée se forme sur le capteur – ou sur le film en argentique – une image de même taille ou supérieure. Pour atteindre un tel grandissement, la première solution consiste à utiliser un objectif macro. Attention toutefois aux appellations abusives de certains fabricants qui qualifient de macro des objectifs dont le grandissement maximum n’excède pas 1 :2, soit 0,5x. Ce qui signifie qu’à leur plus courte distance de mise au point, l’image formée est en réalité deux fois plus petite que le sujet.

 

 

Pensez donc à consulter la fiche technique des objectifs pour vous assurer de leurs compétences. En 24×36, un 50 mm capable d’atteindre un grandissement de 1:1 doit permettre de faire la mise au point à 16 cm environ tandis que ce rapport macro est atteint à 30 cm de distance avec un objectif de 100 mm. En fonction des sujets que vous photographiez et de la distance à laquelle vous souhaitez travailler, vous avez donc intérêt à choisir un objectif macro de plus ou moins longue focale. Enfin, si la plupart des objectifs macro du marché permettent d’atteindre un rapport de grandissement de 0,5 ou 1x, il existe quelques modèles encore plus ambitieux de 1,25x, 2x ou même 5x. Sachez enfin que les objectifs macro ne sont pas les seuls systèmes permettant d’atteindre de forts grandissements.

 

 

Les bagues-allonges et soufflets

En optique, plus le sujet se rapproche de la lentille ou de l’objectif, plus son image grandit et s’en éloigne. Pour réaliser la mise au point sur des sujets très proches, il faut donc pouvoir éloigner suffisamment l’objectif du capteur pour augmenter le tirage. C’est le rôle des bagues-allonges qui permettent de dépasser la distance minimale de point intrinsèque à chaque objectif. Ces accessoires sont disponibles en différentes épaisseurs, pour accroître plus ou moins le grandissement, et sont compatibles avec n’importe quel objectif, macro ou non, à condition de les choisir de la bonne monture. Sur le même principe, on trouve également des soufflets qui ont l’avantage d’une distance variable.

 

 

Les bonnettes

Contrairement aux bagues-allonges qui se placent entre l’objectif et l’appareil, les bonnettes se vissent sur l’avant, comme des filtres. Ce sont des systèmes optiques convergents qui agissent comme des loupes. Les bonnettes modifient donc la focale de l’objectif sans changer le tirage et par conséquent la distance minimale de mise au point. Comme elles se placent devant l’objectif, elles peuvent engendrer des aberrations optiques et doivent donc être choisies avec soin. Elles doivent également s’adapter au diamètre de votre objectif.

 

 

Les bagues d’inversion

Enfin, sachez que les lois de l’optique sont parfois surprenantes : un objectif ordinaire monté à l’envers peut devenir un étonnant objectif macro. Pour que l’opération soit réalisable en pratique, il faut acheter une bague d’inversion. Elle se compose de deux bagues, l’une permettant de visser l’avant de l’objectif sur le boîtier et l’autre se positionnant à l’autre extrémité pour assurer la communication électrique entre l’objectif et l’appareil photo.

 

 

 

Depuis 50 ans, l’école EFET Photographie forme des étudiants aux différents métiers et aux différentes disciplines de la photographie. Son enseignement repose sur un apprentissage théorique et pratique qui comprend aussi bien du laboratoire que de la prise de vue en studio ou en reportage. L’école propose différentes filières, du bachelor en trois ans au bachelor intensif en un an, en passant par des cours du soir ou certains jours de la semaine seulement.

Les différents genres photographiques

De nos jours, la photographie est un sujet qui passionne. Amateurs ou professionnels, la prise de vue anime petits et grandset aune place prépondérante dans notre société. Mais quels sont les différents genres photographiques à ce jour ? 

 

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Tout ce qui est autour de nous est photographiable. L’œil aguerri des photographes professionnel sait immortaliser nos événements, la nature, les voyages, rien ne lui échappe. En règle générale les différents photographes sont spécialisés dans un univers précis de la photo. Zoom sur quelques genres photographiques très appréciés. 

 

La photographie nature 

Côté nature, la photographie représente bien plus qu’un simple cliché d’écorce d’arbre ou une photo de feuillages. Elle symbolise l’ensemble de l’aspect naturel extérieur qui nous entoure.  La faune, la flore, les paysages à perte de vue, les falaises, l’eau et même le ciel sont photographiable sont considérés comme des photographies dites « nature ». 

La photographie de nature va au-delà d’une simple photo, puisque déontologiquement le photographe qui capte l’instant doit avant tout penser à la nature. Par exemple, mettre en scène une photo nature en cassant une branche d’arbre ou en arrachant à la terre une plante est contraire à l’éthique.  

 

La macrophotographie 

Parmi les genres photographiques on retrouve « la macrophotographie ». Ce type de photographie permet aux photographes de photographier de minuscules objets. De si petite taille qu’ils sontparfoisinvisibles à l’œil nu comme certains insectes. Pour cela, les professionnels utilisentdes objectifs spéciaux. Ces objectifs sont insérés à l’appareil photo permettant d’agrandir et d’élargir le champ photographiable afin de donner une image nette et précise, en d'autres termes de zoomer sans détériorer le cliché. Ainsi, prendre une goutte d’eau, une bulle de savon ou un insecte avec une netteté et une précision chirurgicale est aujourd’hui possible 

 

La photographie d’animaux de compagnie 

La photographie d’animaux de compagnie quant à elle se propulse presque en haut de l’échelle. En France, près d’un foyer sur deux possède au moins un animal de compagnie. Ce qui laisse une place considérable pour prendre des photos de ce nouveau membre de la famille. Il faut savoir que la photographie animalière est considérée comme une autre forme de « photo portrait » tant elle est importante. Aucun animal n’est laisséde côté, chats, chiens, lapins, hamsters, cochon d’Inde, chevaux… Généralement ces instants capturés essaient de laisser transparaitre une certaine spontanéité. En revanche, il est possible de se tourner vers un professionnel pour réaliser des photos davantage mises en scène, en studio ou ailleurs. 

 

La photographie portrait 

Quand on parle de photographie portrait, on parle d’un genre très spécifique. Comme son nom l’indique, la photo portrait vise à réaliser le portrait d’une personne. Mais attention, il ne s’agit pas simplement d’immortaliser un visage, il s’agit là de faire vivre un moment, de retranscrire une émotion. Prendre une photo portrait c’est davantage marquer une personnalité, un caractère, une marque de fabrique. Même en étant figée, elle doit paraître vivante et raconter une histoire. A travers cette dernière, le spectateur doit être en mesure de déceler ce que cache le sujet. 

 

La photographie spontanée  

La photographie spontanée est l’un des genres les plus plébiscitésdeces dernières années de par l’importantequ’ont pris les réseaux sociaux et les smartphones au 21ème siècle. A l’inversedes photographies prises lors d’une séance où les modèles posent pour le photographe, les photographies spontanées se font « dans un état naturel ». Pour ce genre de cliché, les sujets sont très souvent pris en mouvement, spontanément et par surprise. De cette manière, aucune émotion, aucun comportement ni même aucun sourire n’est forcé. 

 

 

Bien sûr, il existe de nombreux autres genres photographiques différents. L’EFET Photographie propose des formations complètes et en adéquation avec les nouvelles techniques et les nouvelles demandes du marché de la photographie et aide les étudiants à se spécialiser dans un genre qu’ils affectionnent, tout en abordant. L’école met un point d’honneur à enseigner tous les différents genres photographiques aux étudiants afin qu’ils puissent être parfaitement prêts au monde du travail.