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SIRIVAN UNG Une visite au Louvre

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Premier dimanche du mois de janvier 2015 : les collections permanentes du musée du Louvre sont ouvertes au public.  Les œuvres d’art me rappellent ma première visite au Louvre avec mes parents et les bons moments que j'avais alors passés en France. Aujourd’hui, ces toiles et ces sculptures deviennent mes professeurs, elles m'aident à construire mon regard de photographe et me transmettent une certaine conception de l’être humain. Mais autant que les pièces exposées, la foule bruyante des visiteurs attire mon attention par sa diversité, par le mélange des nationalités et des âges et par cette curiosité et ces découvertes partagées par tous, bien souvent relayées par les photographies prises au smartphone. Je trouve personnellement touchante l'atmosphère qui habite chacune des salles d'exposition, et plus particulièrement les expressions des visages et de regards portés sur les œuvres. Cette ambiance change à toutes les heures du jour et je pense que je retournerai souvent au Louvre et toujours avec le même plaisir.
Sirivan Ung

LA PETITE ROBE NOIREune image pour Guerlain

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Sur le thème d'une griffe, un magazine, la Maison européenne de la photographie, un concours, enfin un coup de pouce en fragrance de gloire.

L'exposition existe déjà, elle vous attend à partir du 6 février à la Maison Guerlain, au 68, avenue des Champs-Elysées, sous le titre « La Petite Robe Noire : Variations autour d’un mythe ». Mais elle pourrait bien avoir un prolongement avec VOTRE création autour du même thème de la Petite robe noire, un beau tirage 60x80cm signé de vous et exposé pendant un mois à la Maison européenne de la photographie. Ce sera le premier prix du concours organisé par le magazine Fisheye, qui en annonce neuf autres, un appareil Sony RX100 Mark III
Trois flacons de parfum La Petite Robe Noire, six abonnements d'un an à Fisheye. La date limite de participation est fixée au 30 mars et le règlement, la participation en ligne se trouvent d'un clic sur https://www.fisheyemagazine.fr/concours/fisheye-x-guerlain/,mais avant toute chose, un tour aux Champs Elysées ne serait pas superflu.

GERALD MOREL côté mer, côté Touque

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Entre Deauville et Trouville, quel parisien n'a jamais hésité pour partir en week end ? D'un côté la plage interminable, tant en largeur qu'en profondeur : difficile de toucher l'eau froide tant la mer semble loin … surtout au grand angle. Mais jamais monotone. D'un autre la Touque, les chalutiers, le marché au poissons, mais aussi le casino et la piscine qui prennent un air désuet à la tombée du jour hors-saison.  Bien sûr d'autres différences font que certains ne jurent que par Deauville, ses hôtels et magasins de luxe, son Casino résonnant encore des élégances de la Belle époque  quand les habitués de Trouville, ses ruelles, Les Voiles et Les Vapeurs, ses deux brasseries les plus célèbres, son atmosphère bon enfant. De par ma culture et mon tempérament, je suis quant à moi ouvert aux deux mondes que sépare l’embouchure de la Touque et que j'ai voulu illustrer ici : côté Deauville la jetée qui protège la marina et ses plaisanciers, et côté Trouville le phare qui guide les chalutiers et ses marins pêcheurs.

Gérald Morel

KARINE FERNANDEZReportage au salon

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C’est la première fois que j’y mets les pieds et j'ai le bonheur de croiser une grande dame de la photographie : Sabine Weiss, 90 ans. Le salon lui rend hommage avec l’exposition « Chère Sabine » reprenant une partie de sa photographie  humaniste. Un film est aussi projeté témoignant des aspects inédits de son travail et de la grande diversité de sa production. Elle y parle entre autre des difficultés techniques qu’elle a pu rencontrer, regrettant bien de n’avoir pas eu le matériel d’aujourd’hui à disposition, et insinuant en souriant que maintenant tout est plus simple. Le salon fait d’ailleurs la part belle aux nouvelles technologies. En témoignent par exemple les stands de drones particulièrement impressionnants de précision dans leur maniement ; ou encore le stand Adobe situé face à l’entrée grand public. Au moment de partir, je découvre les œuvres du concours noir et blanc Ilford. Je constate avec plaisir que l’esprit de l’argentique survit au milieu de toute cette technologie.

Carine Chénel-Fernandez

L'EFET est dans « FISH EYE »

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Comme tous les mois,  la communication de l'éditeur de meubles VITRA dans le magazine FISH EYE a été confiée à une école d'art et c'est l'EFET qui est à l'honneur.

C'est le projet « Tous à table » de Laura Leblanc , étudiante en 3ème année, qui a été choisi par la direction de la communication de VITRA et la rédaction de FISH EYE parmi une quinzaine de projets. Retrouvez cette pleine page dans le N° de Janvier/Février de FISH EYE, le magazine lifestyle de la photographie.

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L'EFET au salon des formations artistiques

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VENEZ NOUS RENCONTRER POUR FAIRE LE POINT AU SALON DES FORMATIONS ARTISTIQUES.

C’est le moment de vous faire une idée plus précise sur la suite de vos études. Venez nous rencontrer pour faire le point au Salon des Formations Artistiques, le 31 janvier et 1er février, au Parc des expositions de la porte de Versailles, Pavillon 8, stands A110 et A135.

Ateliers « Photographie contemporaine »

DOMINIQUE ANGUISE, INITIATEUR DE L'ATELIER “Fine Art”  ET LISA VIVIER, CONSULTANTE EN ART, ONT PROPOSE AUX ETUDIANTS TROIS THEMES SE REFERANT A LA PHOTOGRAPHIE CONTEMPORAINE.

  • Archétypes et stéréotypes : légendes vivantes
  • Photo-Tableau, les liens avec l’histoire de l’art
  • Ponctuation: récit du quotidien actuel

Les trois groupes de travail, qui seront constitués fin janvier, devront construire un discours autour du thème choisi, définir le  message de l’exposition, proposer des impressions et des tirages sur papier Fine Art. Plusieurs séances critiques permettront une sélection finale en cohérence avec les lieux et les commissariats d’exposition.

La valorisation des projets se concrétisera par trois expositions de  photographies, dans des lieux artistiques et culturels ciblés (galerie, centre d’art, incubateur, lieu de création et de diffusion ,etc.). Des partenariats permettront d’apporter un soutien financier aux projets.

Ce “management” culturel et le montage de ces trois expositions s’inscrivent dans une volonté plus générale de la part  l’école EFET de     développer l’aspect artistique de ses sections “photographie” et de proposer à ses étudiants une mise en pratique  artistique des objectifs d’apprentissages.

Ce programme fait suite à une production de trois photographes , autour du thème de la  ville allemande  de Düsseldorf en hiver, exposée à l’automne 2014 à la galerie Starter à Neuilly-sur-seine.

Bonne et belle année 2015

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L’EFET, SA DIRECTION, SES PROFESSEURS ET SES ETUDIANTS VOUS SOUHAITENT UNE BONNE ET BELLE ANNEE 2015, RICHE DE PROJETS ET DE REALISATIONS.

PARIS MAGNUMune agence pour une capitale

CHRISTOPHER-ANDERSON

Au hit parade des villes du monde les plus photographiées, Paris disputerait sans doute la première place avec New York et Venise. Mais quand la photographie prend corps avec les membres d'une agence de presse mythique, l'évocation de la capitale revêt aussitôt une autre allure. C'est ce que ressentent les visiteurs de l'exposition montée à l'Hôtel de Ville de Paris, à travers une trentaine de grands noms de Magnum Photos, français, américains et d'autres nationalités encore, tous impliqués dans l'histoire de la seconde moitié du vingtième siècle et de la fraction écoulée, déjà importante, du vingt-et-unième. Cela démarre avec l'immédiat après-guerre et le courant humaniste qui s'insinue dans une ville encore noire de suie, pour se développer avec tout ce que Paris compte de brillant en art et en variétés, avec ce que ses artères ont connu de manifestations, de défilés et de barricades, pour finir avec ce que la ville lumière offre aux touristes et aux sans abris. L'actualité faite légende.

Hervé Le Goff

Paris Magnum. Salle Saint-Jean, Hôtel de Ville, Paris 4e. Entrée gratuite, jusqu'au 28 mars.• Catalogue 304 pages, éditions Flammarion.

DAVID STRANOpromotion 1997

BERN - © DAVID STRANO

ANIMAUX & STARS, MÊME STUDIO

David termine l'année 2014 en signant sa première monographie, « Des Animaux près des étoiles ».

Dès sa sortie de l'école, David Strano savait que sa carrière commencerait sur un territoire ami, celui des chevaux. Le goût, l'affection n'ont guère attendu pour se transformer en un talent qui su s'imposer dans la presse équestre avant de s'exprimer dans les conditions plus classiques du studio : d'illustrateur, Strano devenait photo portraitiste animalier, étiquette rare et aussi difficile, car ne fait pas poser chiens et oiseaux qui veut.

Largement publié dans des ouvrages généraux, David termine l'année 2014 en signant sa première monographie, « Des Animaux près des étoiles ». La constellation dont il s'agit est celle des célébrités qui ont fait dans leur vie une place à un ou plusieurs animaux, et qui se sont laissées tenter par une pose à deux devant l'objectif. Cela donne une étonnante galerie sur fond noir où Daffy Périer, cocker anglais, pose avec Jean-Marie, son maître et photographe, non loin des deux teckels nains Dash et Virgule Bern qui s'invitent avec leur maître de cérémonie Stéphane, du perroquet Marius Louvin avec Gérard, producteur et musicien, tout près aussi des trois chevaux Llavant, Bettencourt et Amoroso Manson rencontrés avec Jane, leur maîtresse et amie. Une quarantaine de couples ou de groupes célèbres vous attendent dans ce beau livre préfacé par Brigitte Bardot qui ne compte plus ses amis animaux.

David Strano. Des animaux près des étoiles. Textes de Brigitte Bulard-Cordeau. 256 pages, éditions Larousse, 22,90 €