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ARLES 2016 : Concours Voies Off, tout de suite !

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Candidatures au PRIX VOIES OFF 2016/Les émergences photographiques à Arles

Cela a beau être off, l'enjeu est plutôt en plein dans le mille d'une communication brillante, avec à la clef un tremplin et un bout de fortune. Il reste exactement une toute petite semaine pour poser sa candidatures au PRIX VOIES OFF 2016/Les émergences photographiques à Arles et se mettre dans la course pour gagner le Prix Voies Off :de 5 000 €, et/ou le Prix Révélation SAIF de 2 500 € et/ou le Prix la critique . org avec la publication en ligne d'un portfolio. C'est jusqu'à quand les inscriptions ? Jusqu' 20 mars 2016. Où ? Mais sur www.voies-off.com

© Photo : Michel Le Belhomme.

PORTES OUVERTES DES 11 et 12 MARS/Contact pris

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Merci aux visiteurs de la dernière JPO, pour leur curiosité et leurs pertinentes interrogations sur les professions de l'image

Merci aux visiteurs de la dernière JPO, pour leur curiosité et leurs pertinentes interrogations sur les professions de l'image. Ateliers numérique et argentique, studio de prises de vues mode et portrait, interventions de retouches sur photoshop, c'était déjà un premier pied posé dans un futur métier. A bientôt pour les portes ouvertes de juin, avec le palmarès et l'exposition de nos diplômés 2016 !

ANDREA EICHENBERGER (Promotion Photo 2009-2010) MILLE BRIQUES

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Les Mille Briques, ce n'est pas le titre d'un roman policier relatant un fructueux hold-up, c'est tout simplement un recueil de textes et de photographies sur une prison, toute construite en briques, juste avant la fermeture définitive de ses portes. Les textes sont les prises de paroles des derniers détenus de la Maison d'arrêt et de justice de Beauvais, et les images sont signées Andrea Eichenberger à la faveur du travail mené dans le cadre des résidences.
Forme intéressante de mécénat, la résidence d'artiste comprend l'hébergement dans la région d'accueil, avec la contrepartie d'y réaliser un travail personnel, destiné à être exposé et publié la plupart du temps sous la forme d'un livre. Ce livre, publié chez Diaphane éditions est actualites en projet, en mode de souscription : en le commandant sur www.diaphane-editions.com, le futur lecteur accélère sa fabrication, avec le bénéfice de payer son exemplaire moins cher, en l'occurrence 25 € au lieu de 30 €. Les photos sont belles, les textes poignants, l'enjeu en vaut la peine.

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© Diaphane éditions- Andrea Eichenberger

FRANÇOIS DE RIVOYRE (promo 2015)en exRDA et sur le WEB

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Il avait séduit le jury de son diplôme par sa manière originale de visiter Paris et sa banlieue par un jeu de miroirs à peine décelables, et sur le mode mineur des marques au sol ou des figures aléatoires offertes par les déambulations de piétons. Installé à Halle, non loin de Leipzig, au cœur de l'ex-Allemagne de l'Est, François de Rivoyre poursuit ses recherches personnelles sur d'autres dimensions, explorant de nouvelles subtilités nées d'un regard de myope sur ce que la ville peut offrir sans manières, aux abords d'un chantier, au détour d'un édifice, à l'écart d'une vitrine. Après avoir reçu un début de consécration locale avec une récente exposition personnelle de 26 tirages 50x70cm sur un étage entier du Ratshof de Halle, le travail de François de Rivoyre est à l'honneur sur le site de l'œil de la Photographie. Et là pas besoin de franchir le Rhin, il suffit de cliquer sur ce lien
Et pour voir ou revoir l'exposition de Halle, « A photographic journey by François de Rivoyre » c'est ici

MINNSEO KIM Unseen Paris

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Le jeune Coréen du Sud a quitté Séoul pour venir à Paris il y a deux ans ; il y a appris le français, il y étudie actualites la photographie en première année à l'Efet. Si ses images ont en commun de sacrifier à la technologie argentique, elles traduisent d'abord ses impressions de promeneur amoureux des architectures, de témoin des jeux de la lumière et de la nuit. Passionné par la street photography, Minnseo Kim contrôle cependant son approche des quidams qui passent devant son objectif, capturant leurs silhouettes fugitives, contournant la tentation de l'anecdote. Tout au contraire, sa vision résolument subjective se rapproche des artistes qui donnent de la Ville une image singulière, interprétée, voire dénaturée, comme ce dialogue de sourds entre la façade intérieure du Palais Royal et les colonnes de Daniel Buren, comme la présence nocturne et stellaire de la Pyramide de Ieoh Ming Pei au Louvre ou encore ces Champs Elysées vibrant de leurs éclairs d'électrocardiogramme.

Hervé Le Goff

YURINA NIIHARA3e année photo expose dans le Marais

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Le mois de la célébrité pour Yurina

C'est vraiment le mois de la célébrité pour Yurina : après sa brillante exposition au centre culturel du Japon, elle se joint à d'autres jeunes artistes contemporains pour montrer dans une galerie du Marais ses photographies de retrouvailles avec son pays. Ça ne dure que jusqu'au 20 février, à voir donc sans hésiter.
Lost Last, Galerie Joseph, 4-6, rue de Braque, Paris 3e.
Yurina Niahara à son vernissage, par Gilar Farjah.

C'est le propre du voyageur que de redécouvrir son pays à son retour et le vieil Ulysse en faisait jadis l'expérience. Yurina Niihara a vécu la même émotion après un long séjour à Paris où l'avaient appelée ses études en photographie. À un âge où deux années comptent, plus mature, devenue francophone, rompue aux habitudes parisiennes et formée à l'image, Yurina visite son pays natal en touriste occidentale avec des sensations presqu'inédites. Japon devenu étrange, objet d'étude d'une étudiante de l'image et de la figuration sociologique, son « Retour au pays » est présenté en exposition personnelle au prestigieux espace Kunitoraya de la Maison de la culture du Japon.

Finalistes des Canson Art School Awardscatégorie Photo (shortlist)

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Soutenue par Compétence Photo, la 6e édition des Canson Art School Awards dévoile la shortlist de la catégorie Photographie.

Pour sa sixième édition, les Canson Art School Awards, qui récompensent les travaux d'étudiants en filière artistique dans trois catégories (Dessin et peinture sur papier, Photographie et Technique libre sur papier), ont une nouvelle fois rencontré un très vif succès. Cette année, le concours s'ouvrait à un nouveau pays : la Belgique. Il vient ainsi s'ajouter aux trois autres pays participants, que sont la France, l'Espagne et le Portugal.

Soutenu par Compétence Photo, la 6e édition des Canson Art School Awards dévoile la shortlist de la catégorie Photographie.
Par ordre alphabétique, il s'agit de :

• David Corini (EFTI Madrid, Espagne)
• Alexandra Laffitte (EFET, France)
• Jennifer Lescouet (EFET, France)
• Jorge Lopez Munoz (EASD Valencia, Espagne)
• Alfonso Riera (IED Madrid, Espagne)
• Jef Van Den Bossche (Karek de Grote, Belgique)
• Rujia Wang (EFET, France)

Le jury, présidé par Yves Sabourin et composé de Pedro Galilea, Françoise Monnin, Hélène Jayet, Christophe Dosogne et Gérald Vidamment, a d'ores et déjà sélectionné les trois lauréats de l'édition 2016. Les résultats seront annoncés au public lors du vernissage de l'exposition et de la remise des prix le jeudi 17 mars 2016 prochain.

Source : Compétence photo

FRANÇOIS KOLLAR au Jeu de paume

François Kollar

« La France travaille ». La commande officielle la plus importante passée en son temps à un seul photographe circule à travers toute cette belle exposition. François Kollar, l'immigré hongrois savait ce que travailler veut dire : arrivé en France en 1924, il commence comme tourneur aux usines Renault, avant de se faire embaucher dans un atelier de reproduction. La passion pour la photographie découverte en autodidacte l’emmènera sur la plupart des territoires, du portrait en studio, de la publicité, de la mode et bien sûr du reportage au long cours et au long terme qui le conduira jusqu'en Afrique Occidentale Française. Technicien efficace au coup d'œil sûr, Kollar développe aussi une esthétique proche de la Nouvelle vision photographie qui triomphe dans la France des années 1930, quand la seconde révolution industrielle et la modernité technologique inspirent les photographes de tout l'Europe. On admirera, perdue dans ce prodigieux ensemble la merveilleuse publicité pour les machines à écrire Hermès, légère comme un plume.
Hervé Le Goff
•François Kollar, un ouvrier du regard. Jeu de Paume, 1 place de la Concorde, Paris 8e, jusqu'au 22 mai 2016

MORIYAMA, FRANCOà la Fondation Cartier

©Fernell-Franco-

Séparés d'un niveau, le rez-de Chaussée pour le Japonais, le sous-sol pour le Colombien, ces deux grandes signatures de la photographie valent le détour par le boulevard Raspail. Daido Moriyama, le contemporain, y présente ses dernières visions en couleur de Tokyo et en particulier son quartier de Shinjuku. S'y ajoute la commande par la Fondation Cartier d'un diaporama en quatre écrans verticaux d'une déambulation photographique sur la période 2014-2014. Sur un tout autre registre, la rétrospective de Fernell Franco – la première en France – décline en plusieurs sections une chronique sensible de Cali, la ville où il a grandi, vécu et décédé en 2006. Passionné de photographie, partagé entre le reportage et la publicité, Franco laisse un travail personnel sur les mutations de la ville, sur les communautés marginales et pauvres qui l'habitent, en même temps qu'il approfondit ses recherches sur la matière même du tirage, et le travail de création en laboratoire.
Hervé Le Goff
Daido Moriyama, Daido Tokyo, Fernell Franco, Cali clair-obscur. Fondation Cartier pour l’art contemporain, 261, boulevard Raspail 75014 Paris. Jusqu'au 6 juin 2016

YURINA NIIHARA3e année photo expose à la Maison de la culture du Japon

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« Retour au pays ». Yurina Niihara expose à la maison de la culture et du Japon.

C'est le propre du voyageur que de redécouvrir son pays à son retour et le vieil Ulysse en faisait jadis l'expérience. Yurina Niihara a vécu la même émotion après un long séjour à Paris où l'avaient appelée ses études en photographie. À un âge où deux années comptent, plus mature, devenue francophone, rompue aux habitudes parisiennes et formée à l'image, Yurina visite son pays natal en touriste occidentale avec des sensations presqu'inédites. Japon devenu étrange, objet d'étude d'une étudiante de l'image et de la figuration sociologique, son « Retour au pays » est présenté en exposition personnelle au prestigieux espace Kunitoraya de la Maison de la culture du Japon.
101bis Quai Branly, 75015 Paris, du 2 au 13 février.

À ne surtout pas manquer.