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MINNSEO KIM Unseen Paris

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Le jeune Coréen du Sud a quitté Séoul pour venir à Paris il y a deux ans ; il y a appris le français, il y étudie actualites la photographie en première année à l'Efet. Si ses images ont en commun de sacrifier à la technologie argentique, elles traduisent d'abord ses impressions de promeneur amoureux des architectures, de témoin des jeux de la lumière et de la nuit. Passionné par la street photography, Minnseo Kim contrôle cependant son approche des quidams qui passent devant son objectif, capturant leurs silhouettes fugitives, contournant la tentation de l'anecdote. Tout au contraire, sa vision résolument subjective se rapproche des artistes qui donnent de la Ville une image singulière, interprétée, voire dénaturée, comme ce dialogue de sourds entre la façade intérieure du Palais Royal et les colonnes de Daniel Buren, comme la présence nocturne et stellaire de la Pyramide de Ieoh Ming Pei au Louvre ou encore ces Champs Elysées vibrant de leurs éclairs d'électrocardiogramme.

Hervé Le Goff

YURINA NIIHARA3e année photo expose dans le Marais

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Le mois de la célébrité pour Yurina

C'est vraiment le mois de la célébrité pour Yurina : après sa brillante exposition au centre culturel du Japon, elle se joint à d'autres jeunes artistes contemporains pour montrer dans une galerie du Marais ses photographies de retrouvailles avec son pays. Ça ne dure que jusqu'au 20 février, à voir donc sans hésiter.
Lost Last, Galerie Joseph, 4-6, rue de Braque, Paris 3e.
Yurina Niahara à son vernissage, par Gilar Farjah.

C'est le propre du voyageur que de redécouvrir son pays à son retour et le vieil Ulysse en faisait jadis l'expérience. Yurina Niihara a vécu la même émotion après un long séjour à Paris où l'avaient appelée ses études en photographie. À un âge où deux années comptent, plus mature, devenue francophone, rompue aux habitudes parisiennes et formée à l'image, Yurina visite son pays natal en touriste occidentale avec des sensations presqu'inédites. Japon devenu étrange, objet d'étude d'une étudiante de l'image et de la figuration sociologique, son « Retour au pays » est présenté en exposition personnelle au prestigieux espace Kunitoraya de la Maison de la culture du Japon.

Finalistes des Canson Art School Awardscatégorie Photo (shortlist)

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Soutenue par Compétence Photo, la 6e édition des Canson Art School Awards dévoile la shortlist de la catégorie Photographie.

Pour sa sixième édition, les Canson Art School Awards, qui récompensent les travaux d'étudiants en filière artistique dans trois catégories (Dessin et peinture sur papier, Photographie et Technique libre sur papier), ont une nouvelle fois rencontré un très vif succès. Cette année, le concours s'ouvrait à un nouveau pays : la Belgique. Il vient ainsi s'ajouter aux trois autres pays participants, que sont la France, l'Espagne et le Portugal.

Soutenu par Compétence Photo, la 6e édition des Canson Art School Awards dévoile la shortlist de la catégorie Photographie.
Par ordre alphabétique, il s'agit de :

• David Corini (EFTI Madrid, Espagne)
• Alexandra Laffitte (EFET, France)
• Jennifer Lescouet (EFET, France)
• Jorge Lopez Munoz (EASD Valencia, Espagne)
• Alfonso Riera (IED Madrid, Espagne)
• Jef Van Den Bossche (Karek de Grote, Belgique)
• Rujia Wang (EFET, France)

Le jury, présidé par Yves Sabourin et composé de Pedro Galilea, Françoise Monnin, Hélène Jayet, Christophe Dosogne et Gérald Vidamment, a d'ores et déjà sélectionné les trois lauréats de l'édition 2016. Les résultats seront annoncés au public lors du vernissage de l'exposition et de la remise des prix le jeudi 17 mars 2016 prochain.

Source : Compétence photo

FRANÇOIS KOLLAR au Jeu de paume

François Kollar

« La France travaille ». La commande officielle la plus importante passée en son temps à un seul photographe circule à travers toute cette belle exposition. François Kollar, l'immigré hongrois savait ce que travailler veut dire : arrivé en France en 1924, il commence comme tourneur aux usines Renault, avant de se faire embaucher dans un atelier de reproduction. La passion pour la photographie découverte en autodidacte l’emmènera sur la plupart des territoires, du portrait en studio, de la publicité, de la mode et bien sûr du reportage au long cours et au long terme qui le conduira jusqu'en Afrique Occidentale Française. Technicien efficace au coup d'œil sûr, Kollar développe aussi une esthétique proche de la Nouvelle vision photographie qui triomphe dans la France des années 1930, quand la seconde révolution industrielle et la modernité technologique inspirent les photographes de tout l'Europe. On admirera, perdue dans ce prodigieux ensemble la merveilleuse publicité pour les machines à écrire Hermès, légère comme un plume.
Hervé Le Goff
•François Kollar, un ouvrier du regard. Jeu de Paume, 1 place de la Concorde, Paris 8e, jusqu'au 22 mai 2016

MORIYAMA, FRANCOà la Fondation Cartier

©Fernell-Franco-

Séparés d'un niveau, le rez-de Chaussée pour le Japonais, le sous-sol pour le Colombien, ces deux grandes signatures de la photographie valent le détour par le boulevard Raspail. Daido Moriyama, le contemporain, y présente ses dernières visions en couleur de Tokyo et en particulier son quartier de Shinjuku. S'y ajoute la commande par la Fondation Cartier d'un diaporama en quatre écrans verticaux d'une déambulation photographique sur la période 2014-2014. Sur un tout autre registre, la rétrospective de Fernell Franco – la première en France – décline en plusieurs sections une chronique sensible de Cali, la ville où il a grandi, vécu et décédé en 2006. Passionné de photographie, partagé entre le reportage et la publicité, Franco laisse un travail personnel sur les mutations de la ville, sur les communautés marginales et pauvres qui l'habitent, en même temps qu'il approfondit ses recherches sur la matière même du tirage, et le travail de création en laboratoire.
Hervé Le Goff
Daido Moriyama, Daido Tokyo, Fernell Franco, Cali clair-obscur. Fondation Cartier pour l’art contemporain, 261, boulevard Raspail 75014 Paris. Jusqu'au 6 juin 2016

YURINA NIIHARA3e année photo expose à la Maison de la culture du Japon

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« Retour au pays ». Yurina Niihara expose à la maison de la culture et du Japon.

C'est le propre du voyageur que de redécouvrir son pays à son retour et le vieil Ulysse en faisait jadis l'expérience. Yurina Niihara a vécu la même émotion après un long séjour à Paris où l'avaient appelée ses études en photographie. À un âge où deux années comptent, plus mature, devenue francophone, rompue aux habitudes parisiennes et formée à l'image, Yurina visite son pays natal en touriste occidentale avec des sensations presqu'inédites. Japon devenu étrange, objet d'étude d'une étudiante de l'image et de la figuration sociologique, son « Retour au pays » est présenté en exposition personnelle au prestigieux espace Kunitoraya de la Maison de la culture du Japon.
101bis Quai Branly, 75015 Paris, du 2 au 13 février.

À ne surtout pas manquer.

PONCTUATION : L'Efet à la Favela-Chic !

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Ils étaient un certain nombre, artistes et amis, à se presser au vernissage de l'exposition « Ponctuation : Légendes urbaines »,

convergence de douze jeunes photographes, tous formés à l'Efet et laissés libres de leurs inspirations et de leurs talents. L'endroit, un bar-restaurant brésilien exotique et convivial n'est pas le plus mauvais cadre à l'installation : il prête son nom  à cette rencontre esthétique et poétique du thème de la ville et du questionnement des apparences. Mais tout ça vous le verrez sur place, l'exposition dure jusqu'au 2 février 2016 et vous attend à La Favela-Chic au 18, rue du Faubourg du Temple, Paris 11e. Métro République.

JULIETTE JOURDAIN couverture de PHOTO

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Juliette Jourdain (promotion Photo 2014) fait la couverture de la revue « PHOTO »

Un succès vient rarement seul ! Juliette Jourdain (promotion Photo 2014) qui remportait en décembre le deuxième prix du concours Picto de la jeune photographie de mode 2015 n'imaginait pas qu'elle réaliserait aux premiers jours de 2016 le rêve qui stimule tous les photographes, les jeunes et les autres : faire la couverture d'une revue mythique. Voici qu'une de ses images dédiées à la mode et à la beauté apparaît dans tous les kiosques en couverture du n° 523 du magazine Photo. Une belle page pour son Pressbook de photographe, et joli départ pour la carrière qui s'annonce brillante. Bravo Juliette !

 

SANDRA SANSO Déclic ornito

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Passionnée par le monde animal, je recherche, je guette, j’essaie de comprendre le comportement des espèces, pour mieux les photographier. J’ai commencé par la macrophotographie mais je me suis vite passionnée pour l’ornithologie.
Lors de mes sorties, je fais une reconnaissance des lieux, ce qui me permet d’anticiper la présence des animaux. Je prends les photos à la volée, sans affûts, laissant ainsi les oiseaux accepter ou non ma présence, râler, ou guetter à leur tour. Mais l'imprévu domine toujours, comme en ce jour où je photographiais un troglodyte mignon (un tout petit oiseau nichant dans les cavités rocheuses) qui paillait car je m'étais postée juste à coté de son nid. J’aperçois à ce moment un grimpereau filant sur son arbre à la recherche de petits insectes: je ne bouge presque plus, je le suis au travers l'objectif dans son ascension en spirale, le rideau se referme, je n'ai qu'un seul cliché.
Les bêtes sont très méfiantes, elles ont ce pouvoir inné de se mettre hors de portée, et c'est ce qui les rend si passionnantes.

Sandra Sanso, première année photo

Ponctuation: légendes urbaines

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Douze photographes sortis de l'EFET exposent à Paris.

Ils sont douze photographes, originaires de huit nationalités différentes et ont en commun d'être récemment sortis de la même école EFET. Par une exposition collective initiée par Lisa Vivier, galeriste, et Dominique Anguise, leur professeur, ils confrontent leurs libres visions de l'existence dans un contexte urbain, prise en des aspects aussi précis et forts que l'apparence, le repère ou l'émotion.
Genre immémorial et promis à un perpétuel renouvellement, le portrait est représenté par cinq auteurs exclusivement féminins : Kelly Castigliolo, Gilar Farjah, et Sonia Lumière sondent en noir et blanc le mystère de l'identité et de l'appartenance, quand Ming Pang et Dahee Zoe reviennent aux critères esthétique légués par les maîtres anciens de la peinture européenne, pendant classique aux orientations post-modernes de Rujia Wang.
La maison, la ville, la polis, considérées comme autant d'enveloppes de l'humanité et de leurs contemporains sont au cœur des recherches de cinq autres jeunes artistes. C'est d'abord, avec Dimitri Levert, un regard interrogé sur une usine en déshérence, dont les traces du travail et de la vie sont promises à l'oubli sinon à la destruction, c'est aussi le regard distant de Dominique Masson sur certaines demeures de bord de mer, signes extérieurs de richesse photographiés comme autant de vestiges de fortunes d'un certain âge d'or industriel. De son retour à son Japon natal, Yurina Nihara s'étonne d'en avoir une perception altérée par ses années passées en Europe. Elle s'inscrit dès lors dans le jeu du reporter étranger à son propre pays pour réaliser de la ville de Kyushu un document d'intention objective, sans tendresse ni caricature. Un peu plus loin, et par le biais esthétique et trivial des lignes roses ou bleue d'une singulière adduction d'eau imposée à la ville de Berlin par une nappe phréatique trop haute, Alain Hoa revisite en esthète la capitale allemande, rendant à l'Est et l'Ouest une forme inattendue de réunification.
Formes et couleurs dominent encore le travail de Pianpian Jin sur les architectures cubiques sinon cubistes de l'habitat grec des Cyclades, juxtaposant ses aplats de couleurs vives et le blanc de la chaux au bleu soutenu du ciel. Double réminiscence enfin chez Alex Alexova qui produit un premier travail, « ADN », relecture d'anciennes photographies de famille par laquelle la jeune photographie entend renforcer la filiation entre ses enfants nés en France et ses racines bulgares, et  « Carré blanc », étude formelle de formes abstraites photographiées, lointain écho au Carré noir de Malévitch de 1915, et ponctuation esthétique d'une œuvre à venir.

Ponctuation: légendes urbaines. La Pop up Galerie de la Favela Chic, 18, rue du faubourg du Temple, du 20 Janvier au 2 février 2016. Vernissage en présence des artistes photographes, mercredi 20 janvier à 19 heures. Tirages réalisés sur papier Canson.

Hervé le Goff

 

Alex Alexova est née en 1974 à Blagoevgrad en Bulgarie mais elle se revendique aussi française et parisienne.  Son éducation conduite sur fond d'idéologie communiste laisse-des traces sur son travail, l'incitant à embellir la réalité ou à chercher à la contourner dans une direction résolument optimiste. Son expérience d’agent de mannequins et ses divers séjours à New York, Milan, Barcelone, Athènes et Sofia ont contribué à exacerber sa curiosité pour l’image, pour le monde et pour l’autre. Elle confie à la photographie dont elle vient de conforter la technique d'’exprimer ce qu'elle ressent et de définir qui elle est.

Kelly Costigliolo est née à Gênes en 1993, de père italien et mère brésilienne, elle passe son enfance entre la campagne italienne et les plages de Rio de Janeiro qu'elle quitte en 2012 pour commencer à Paris ses études en photographie  à l’école EFET. En 2013, elle devient l'assistante d'Enrico Bossan, directeur créatif de Fabrica et commence à collaborer avec l’ONG Watoto Kenya en tant que photographe freelance. Au delà des belles images produites sur le thème de l'évolution d'un pays africain émergent, ce dernier travail la conduit à mener une action éducative au profit des enfants de l'orphelinat de Makobeni.

Gilar Farjah est née en 1986  à Téhéran où elle commence son parcours artistique par le dessin et comme créatrice de bijoux. Titulaire d'une licence de graphisme obtenue à l’université iranienne de Kamalolmolk en Iran, elle décide en 2012 de poursuivre ses études à l’école de photographie EFET à Paris. Sa première formation et la découverte des technologies de l'image ont engendré une vision singulière, à la fois militante et poétique, d'une certaine idée de la femme dans la société iranienne.

Alain Hoa est né à Paris en 1991 et se présente comme un enfant de la diaspora cambodgienne qui a grandi en France. La photographie qu'il pratique depuis 1990 est imprégnée de l'environnement urbain dans lequel il a développé son–regard d'artiste, au cours de ses trois années d'études à l'école Efet mais aussi sous l'influence de l’école allemande de Düsseldorf. C'est donc naturellement qu'il se spécialise vers la photographie d'architecture au sein de laquelle il montre une prédilection pour la ligne sinon pour l'abstraction, comme cela se ressent dans son dernier travail sur la ville de Berlin.

Pianpian Jin est née en 1990 à  Zhejiang, en Chine. Après un  diplôme en communication visuelle obtenue à l' Université de sciences et technologie de Zhejiang, elle a décidé de venir en France pour étudier la photographie. Actuellement inscrite en troisième année à l'école Efet, elle vit et travaille actualites à Paris, en poursuivant des recherches personnelles fondées sur les éléments de la vie quotidienne, en explorant le trivial au prisme de l'abstraction et d'une vision graphique acquise au cours de ses années de formation en Chine.

Dimitri Levert est né en 1979 et découvre la photographie à vingt ans, dans une pratique argentique et à travers l'étude expérimentale de procédés anciens. Il prend en 2014 une double décision, conforter ses bases en photographie numérique et se consacrer à une carrière d'auteur, notamment sur le passage du temps, sur les traces que laissent déjà notre période contemporaine et l'habitat en déshérence.

Sonia Lumière est née en 1987 à Saint-Petersbourg, Russie. Après de très sérieuses études en Urbanisme-aménagement à l'Université d'Etat d'architecture et de génie civil de Saint-Petersbourg et d'économie et gestion de l'entreprise à Université d'État d'économie et de finance de Saint-Petersbourg, elle décide de se consacrer à l'histoire de l'art et de la musique. Elle s'oriente en 2014 vers la photographie en suivant une formation d'un an à l'école Efet. Son travail procède de son parcours étudiant à facettes multiples pour donner une vision d'auteur particulièrement sensible.

Dominique Masson est né en 1965 en Vendée et a grandi en Mauritanie. Une formation initiale acquise dans la région nantaise l'a conduit à un parcours classique de graphiste  indépendant, travaillant pour différentes agences de communication ou intégrant le service de communication d'une entreprise privée. Se découvrant une passion pour la photographie, Dominique Masson  a commencé à l'expérimenter en autodidacte avant d'entreprendre des études spécifiques à l'école Efet. Attaché à sa région natale et à ses métamorphoses, il lui consacre une grande part de son travail.

Yurina Niihara est née en 1986  à Kagoshima, au Sud du Japon. Après des études universitaires en sciences humaines et une brève carrière de mannequin, elle décide de devenir photographe de mode. La catastrophe de Fukushima est à l'origine de son projet de venir à Paris étudier la photographie. Actuellement en troisième année de formation à l'école Efet, Yurina Niihara compte plusieurs publications magazine à son actif : Flanelle, Kaltblut, Elegant, Sleek, Juste, Bizart ou Institute. Elle a été finaliste du Grand Prix Photo 2015 de Saint Tropez et au concours photo pour le festival Petit Clap 2016. Son travail d'abord orienté vers la mode s'élargit sur des recherches sur la ville et sur l'érotisme.

Ming Pang est née en 1990 à Canton en Chine où elle a grandi dans un univers profondément ancré dans l'idéologie communiste. Après ses études de journalisme à l'université de Canton qui lui ont permis de mieux connaître son pays, elle a décidé d'acquérir une formation photographique en France, à l'école Efet. Toujours attachée à ses origines et à la culture chinoise, Ming Pang élargit ses investigations au champ double des cultures orientale et occidentale qu'elle envisage de mettre en dialogue.

Rujia Wang est née en 1990  à Hunan en Chine, et a étudié les nouveaux médias à l'Université du Nord-Ouest de Xi'an pendant 4 ans. Elle est arrivée en France en 2013 pour y apprendre la photographie à laquelle elle voue depuis longtemps une profonde passion. Après une année à l'Université de Cergy-Pontoise qui lui a permis de conforter ses connaissances en français, elle a été admise en deuxième année à l'Ecole Efet en 2014, où elle développe une recherche inspirée des divers courants esthétiques occidentaux comme le kitsch ou le pop art.

Dahee Zoé est née  en1994 à Boryeong, enCorée du Sud. Formée en infographie au  Lycée commercial de Daecheon, elle suit une préparation en photographie au Joa Institute de Séoul avant d'intégrer l'école Efet dont elle achève le cycle de trois ans. Son travail se signale par une relecture des canons de la peinture occidentale classique à travers une vision résolument contemporaine.